Réveil mouvementé - flash-backs - rp solo mais ouvert à ceux qui veulent participer
Posté : 17 nov. 2021 11:58
Qu’est-ce qu’il m’arrive ?
Ma tête était lourde et douloureuse comme si elle allait exploser. Mon esprit était dans le coton, j’avais du mal à réfléchir et m’orienter.
J’étais allongé à plat ventre sur le sol, il faisait froid et la pluie brouillait les odeurs, les bruits et ma vue. En voulant me redresser à l’aide de mes bras je constatais que je manquais de force car il me fallut beaucoup d’énergie pour me mouvoir. Lentement, avec prudence je m’assieds, toujours à terre. Je ne portais pas de vêtements, j’étais sale et il y avait des truc étranges collés sur mes tempes, mon torse et bras en plus d’une aiguille. Je retirais le tout vivement et fit une grimace de douleur et surtout de surprise car je ne m’attendais pas à ce que les poils de mon torse s’arrachent avec la colle. Finalement je n’étais pas douillet mais la sensation d’épilation n’était pas agréable. Quand vint le tour de l’aiguille, je la saisie par le bout et s’arrachât sèchement. Il était inutile de tourner autour du pot. Il fallait bien retirer ce truc.
Je regardais autour de moi, les odeurs ne le disaient rien. Quelques animaux étaient passés par là, je sentais que certains d’entre eux m’observaient discrètement. C’était probablement des herbivores qui se préparaient à fuire pour ne pas me servir de repas.
Qu’est-ce que je fou-là ? Pensais-je à plusieurs reprises depuis que j’avais ouvert l’oeil. Mon instinct me poussais à me lever et à bouger. Je devais partir de là mais je ne savais pas pourquoi. Mon esprit était toujours brouillé et je n’arrivais pas à mettre mes idées en place.
Je rassemblais mes forces et je me relevais avec peine. Je me sentais lourd et j’avais l’impression que mes muscles n’étaient pas habitués à ça. Avais-je été immobilisé longtemps ? Mystère.
Trop de choses m’étaient inconnues. C’est comme si je venais de me réveiller. C’était le cas, mais pas ce genre de réveil…
Un pas après l’autre je trouvais mon équilibre et je me sentais plus vif. Comme si je m’adaptais à quelque chose de nouveau. L’eau ruisselait sur moi, il faisait toujours aussi froid. De la vapeur d’eau s’échappait de ma bouche quand j’expirais. Il fallait que je bouge pour ne pas avoir de problème. Je ne portais rien sur moi, même pas de sous-vêtements. Ce n’était pas normal.
Je me mis en marche dans la forêt en allant droit devant sans vraiment de raison. Il fallait bien aller quelque part après tout.
Au bout d’un moment qui était assez long j’entendais les animaux s’enfuir. Quelque chose approchait. Je m’arrêtais, tendais l’oreille, cherchant une odeur, ou essayant de voir quelque chose. C’était des chiens, ils venaient de derrière moi. Grâce à leur aboiements, je savais qu’ils étaient excités mais ils avançaient lentement, la vitesse du pas d’un homme pressé. Il y avait au moins 5 chiens qui arrivaient dans me direction. On me suivait mais pourquoi ?
Mon cœur s’emballât et mon instinct de survie me poussa à quitter cet endroit au plus vite. La pluie pourrait couvrir mon odeur. Je me mis à courir aussi vite que possible mais la forêt se densifiait et les ronces aux épines acérées ralentissaient ma progression. Chaque pas étaient douloureux à cause des morceaux de bois, de cailloux qui me blessaient la plante des pieds. En traversant les ronces de manière précipitée je sentais la douleurs des griffures à chaque fois que j'en traversais. le pire c'est que je laissais des traces que les chiens pouvaient suivre. D'ailleurs leurs aboiement étaient de plus en plus fort car ils se rapprochaient très vite de moi. J'essayais de gagner en vitesse mais je ne pouvais pas aller plus vite. Je fatiguais, j'étais essoufflés et je m'épuisais à chaque minutes qui passaient.
Brusquement un des chiens me sauta dessus. Je me retournais instinctivement en grognant, montrant les dents. Sans réfléchir je donnais des coups de poings sur le chiens et vit que des griffes de métal étaient sorties du dessus de mes main dans d'horribles douleurs. Le sang giclait du coup de l'animal qui agonisait en couinant pour se taire quelques instant plus tard dans une marre de sang. Je haletais, perdu, mais extrêmement réactif à cause de l'adrénaline qui me boostait. Deux autres chiens me bondirent dessus mais ils n'eurent pas le temps de me sauter dessus car chacun d'eux avaient pris un bon coup de griffe qui les avaient éventrés projetant encore plus de sang sur moi et sur le sol. C'était un vraie carnage mais je m'en fichais seul ma survie comptait.
Immédiatement, je me retournais pour reprendre ma course pour échapper à mes poursuivant mais c'était trop tard. Un homme qui avaient du me prendre à révère mais pointait avec son fusil à gros calibre. Je grognais de colère en le voyant mais n'avançais pas à cause de la taille des balles qui pourraient me tuer.
De part et d'autre de moi, d'autres hommes avec leurs chiens arrivaient. J'étais encerclés et surtout bel et bien menacé avec des armes de guerres.
Q'est-ce que vous me voulez bordel! Hurlais-je en essayant de comprendre ce qu'il se passait.
Depuis le peu de temps que j'étais réveillé je ne comprenais pas un seul instant de ce que je vivais. Je ne savais ni ce que je faisais là, pourquoi j'étais nu avec seulement des plaques militaires autour de mon coup. Pourquoi des griffes en métal sortaient des mes mains...
Qu'est-ce que vous m'avez fait! Qu'est ce que je fais là!Les soldats se rassemblaient de même côté en me tenant toujours en joue et surtout sans rien dire. Ca ne me disais rien de bon.
Pourquoi ne répondaient-il pas et surtout pourquoi je ne savais rien de rien. En effet, j'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose, des souvenirs. Je n'avais pas la moindre idées de mon identité.
Un cliquetis familier provenant d'un des fusils d’assaut me poussa à reprendre ma course pour ma vie. Il s'agissait d'une sécurité qu'on enlevait avant de tirer, de la mise en mode tire continue. Ces fils de putes allaient m'abattre comme une merde au gros calibre sans me donner une raison. Qu'avais-je fait pour mériter un pelotons d'exécution par des militaires? Car oui, c'était bien des militaires. Même s'ils ne portaient pas d'uniformes ou de grades, leur attitude, leur organisation. Il ne pouvait pas en être autrement.
Je n'avais fait que quelques mètres, que j'entendais les détonations continue et les douleurs atroces que provoquaient les balles quand elles pénétraient mon corps, déchiraient mes chaires, détruisant tout sur leur passage. J'avais l'impression de devenir fou, enragé. je continuais d'avancer coûte que coûte. Mais je m'écroulais sentant la mort me prendre. Je sentais que je perdais connaissance. les bruits de pas, lents cette fois-ci se rapprochaient de moi. Ils discutaient de moi disant qu'ils devaient me finir au plus vite car je me régénérais déjà.
Régénérais? Je ne comprenais pas. C'était une habitude. Quoi qu'il en soit, je sentais moins les douleurs et ma faiblesse me quittais. Ils étaient proches, au dessus de moi. J'un d'eux allumait une cigarette, j'entendais le bruit du paquet et du briquet qu'on actionne. Un autre me donnait des coups de pieds sur le côté pour voir si je réagissais. Je faisait le mort. Mon instinct me guidait, j'étais comme un animal qui attendais le meilleur moment pour prendre la fuite.
Deux gars plaisantaient. Ils étaient proches, très proches, trop proches.
Il n'avaient qu'à faire attention, je leur sautais dessus comme un diable qui sortait de sa boite, toutes griffes dehors, attaquant tout ce qui était à ma portée. Les hurlement, les plaintes, l'odeur du sang, le gout métallique qu'il avait brouillait la nature. Ils m'avaient acculés et essayaient de me tuer. Je ne faisais que réagir.
Toujours dans l'urgence je tentais de m'échapper et je me remis à courir. D'autres soldat qui étaient plus loin se rapprochaient en courant pour venir en aide à leurs frère d'armes que j'avais soit tués, soit gravement blessés. Mais quand on s'attaque à un fauve, il ne faut pas croire qu'il se laissera tuer sans se battre jusqu'à la mort.
Je courrais, courrais, courrais comme un dingue droit devant à travers les arbres et les ronces qui me protégeaient d'impactes de balles qui sifflaient de part est d'autres. devant moi j'entendais un grondement sourd qui se rapprochais au fure et à mesure que j'avançais. Je continuais tout de même car de toute façon je n'avais pas d'autre choix.
L'humidité s’amplifiait, je sentais le vent et des gouttes d'eau qui sentaient la terre. C'était un falaise, non, un cascade qui faisait plusieurs mètres de haut. Les aboiement des chiens s'approchaient, je devais faire quelque chose. J'avais fait quelques pas vers le bord de la cascade dont le bruit était assourdissant. Un homme sortait de derrière un arbre et mon pointait avec son arme. La cascade ou les balles. Etre broyé par les rocher et mis en charpie par des balles et les chiens... Le choix était fatal mais c'était un choix. Je regardais l'homme, grognant face à lui les griffes sortie, menaçant et je sautais dans l'eau.
Ma tête était lourde et douloureuse comme si elle allait exploser. Mon esprit était dans le coton, j’avais du mal à réfléchir et m’orienter.
J’étais allongé à plat ventre sur le sol, il faisait froid et la pluie brouillait les odeurs, les bruits et ma vue. En voulant me redresser à l’aide de mes bras je constatais que je manquais de force car il me fallut beaucoup d’énergie pour me mouvoir. Lentement, avec prudence je m’assieds, toujours à terre. Je ne portais pas de vêtements, j’étais sale et il y avait des truc étranges collés sur mes tempes, mon torse et bras en plus d’une aiguille. Je retirais le tout vivement et fit une grimace de douleur et surtout de surprise car je ne m’attendais pas à ce que les poils de mon torse s’arrachent avec la colle. Finalement je n’étais pas douillet mais la sensation d’épilation n’était pas agréable. Quand vint le tour de l’aiguille, je la saisie par le bout et s’arrachât sèchement. Il était inutile de tourner autour du pot. Il fallait bien retirer ce truc.
Je regardais autour de moi, les odeurs ne le disaient rien. Quelques animaux étaient passés par là, je sentais que certains d’entre eux m’observaient discrètement. C’était probablement des herbivores qui se préparaient à fuire pour ne pas me servir de repas.
Qu’est-ce que je fou-là ? Pensais-je à plusieurs reprises depuis que j’avais ouvert l’oeil. Mon instinct me poussais à me lever et à bouger. Je devais partir de là mais je ne savais pas pourquoi. Mon esprit était toujours brouillé et je n’arrivais pas à mettre mes idées en place.
Je rassemblais mes forces et je me relevais avec peine. Je me sentais lourd et j’avais l’impression que mes muscles n’étaient pas habitués à ça. Avais-je été immobilisé longtemps ? Mystère.
Trop de choses m’étaient inconnues. C’est comme si je venais de me réveiller. C’était le cas, mais pas ce genre de réveil…
Un pas après l’autre je trouvais mon équilibre et je me sentais plus vif. Comme si je m’adaptais à quelque chose de nouveau. L’eau ruisselait sur moi, il faisait toujours aussi froid. De la vapeur d’eau s’échappait de ma bouche quand j’expirais. Il fallait que je bouge pour ne pas avoir de problème. Je ne portais rien sur moi, même pas de sous-vêtements. Ce n’était pas normal.
Je me mis en marche dans la forêt en allant droit devant sans vraiment de raison. Il fallait bien aller quelque part après tout.
Au bout d’un moment qui était assez long j’entendais les animaux s’enfuir. Quelque chose approchait. Je m’arrêtais, tendais l’oreille, cherchant une odeur, ou essayant de voir quelque chose. C’était des chiens, ils venaient de derrière moi. Grâce à leur aboiements, je savais qu’ils étaient excités mais ils avançaient lentement, la vitesse du pas d’un homme pressé. Il y avait au moins 5 chiens qui arrivaient dans me direction. On me suivait mais pourquoi ?
Mon cœur s’emballât et mon instinct de survie me poussa à quitter cet endroit au plus vite. La pluie pourrait couvrir mon odeur. Je me mis à courir aussi vite que possible mais la forêt se densifiait et les ronces aux épines acérées ralentissaient ma progression. Chaque pas étaient douloureux à cause des morceaux de bois, de cailloux qui me blessaient la plante des pieds. En traversant les ronces de manière précipitée je sentais la douleurs des griffures à chaque fois que j'en traversais. le pire c'est que je laissais des traces que les chiens pouvaient suivre. D'ailleurs leurs aboiement étaient de plus en plus fort car ils se rapprochaient très vite de moi. J'essayais de gagner en vitesse mais je ne pouvais pas aller plus vite. Je fatiguais, j'étais essoufflés et je m'épuisais à chaque minutes qui passaient.
Brusquement un des chiens me sauta dessus. Je me retournais instinctivement en grognant, montrant les dents. Sans réfléchir je donnais des coups de poings sur le chiens et vit que des griffes de métal étaient sorties du dessus de mes main dans d'horribles douleurs. Le sang giclait du coup de l'animal qui agonisait en couinant pour se taire quelques instant plus tard dans une marre de sang. Je haletais, perdu, mais extrêmement réactif à cause de l'adrénaline qui me boostait. Deux autres chiens me bondirent dessus mais ils n'eurent pas le temps de me sauter dessus car chacun d'eux avaient pris un bon coup de griffe qui les avaient éventrés projetant encore plus de sang sur moi et sur le sol. C'était un vraie carnage mais je m'en fichais seul ma survie comptait.
Immédiatement, je me retournais pour reprendre ma course pour échapper à mes poursuivant mais c'était trop tard. Un homme qui avaient du me prendre à révère mais pointait avec son fusil à gros calibre. Je grognais de colère en le voyant mais n'avançais pas à cause de la taille des balles qui pourraient me tuer.
De part et d'autre de moi, d'autres hommes avec leurs chiens arrivaient. J'étais encerclés et surtout bel et bien menacé avec des armes de guerres.
Q'est-ce que vous me voulez bordel! Hurlais-je en essayant de comprendre ce qu'il se passait.
Depuis le peu de temps que j'étais réveillé je ne comprenais pas un seul instant de ce que je vivais. Je ne savais ni ce que je faisais là, pourquoi j'étais nu avec seulement des plaques militaires autour de mon coup. Pourquoi des griffes en métal sortaient des mes mains...
Qu'est-ce que vous m'avez fait! Qu'est ce que je fais là!Les soldats se rassemblaient de même côté en me tenant toujours en joue et surtout sans rien dire. Ca ne me disais rien de bon.
Pourquoi ne répondaient-il pas et surtout pourquoi je ne savais rien de rien. En effet, j'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose, des souvenirs. Je n'avais pas la moindre idées de mon identité.
Un cliquetis familier provenant d'un des fusils d’assaut me poussa à reprendre ma course pour ma vie. Il s'agissait d'une sécurité qu'on enlevait avant de tirer, de la mise en mode tire continue. Ces fils de putes allaient m'abattre comme une merde au gros calibre sans me donner une raison. Qu'avais-je fait pour mériter un pelotons d'exécution par des militaires? Car oui, c'était bien des militaires. Même s'ils ne portaient pas d'uniformes ou de grades, leur attitude, leur organisation. Il ne pouvait pas en être autrement.
Je n'avais fait que quelques mètres, que j'entendais les détonations continue et les douleurs atroces que provoquaient les balles quand elles pénétraient mon corps, déchiraient mes chaires, détruisant tout sur leur passage. J'avais l'impression de devenir fou, enragé. je continuais d'avancer coûte que coûte. Mais je m'écroulais sentant la mort me prendre. Je sentais que je perdais connaissance. les bruits de pas, lents cette fois-ci se rapprochaient de moi. Ils discutaient de moi disant qu'ils devaient me finir au plus vite car je me régénérais déjà.
Régénérais? Je ne comprenais pas. C'était une habitude. Quoi qu'il en soit, je sentais moins les douleurs et ma faiblesse me quittais. Ils étaient proches, au dessus de moi. J'un d'eux allumait une cigarette, j'entendais le bruit du paquet et du briquet qu'on actionne. Un autre me donnait des coups de pieds sur le côté pour voir si je réagissais. Je faisait le mort. Mon instinct me guidait, j'étais comme un animal qui attendais le meilleur moment pour prendre la fuite.
Deux gars plaisantaient. Ils étaient proches, très proches, trop proches.
Il n'avaient qu'à faire attention, je leur sautais dessus comme un diable qui sortait de sa boite, toutes griffes dehors, attaquant tout ce qui était à ma portée. Les hurlement, les plaintes, l'odeur du sang, le gout métallique qu'il avait brouillait la nature. Ils m'avaient acculés et essayaient de me tuer. Je ne faisais que réagir.
Toujours dans l'urgence je tentais de m'échapper et je me remis à courir. D'autres soldat qui étaient plus loin se rapprochaient en courant pour venir en aide à leurs frère d'armes que j'avais soit tués, soit gravement blessés. Mais quand on s'attaque à un fauve, il ne faut pas croire qu'il se laissera tuer sans se battre jusqu'à la mort.
Je courrais, courrais, courrais comme un dingue droit devant à travers les arbres et les ronces qui me protégeaient d'impactes de balles qui sifflaient de part est d'autres. devant moi j'entendais un grondement sourd qui se rapprochais au fure et à mesure que j'avançais. Je continuais tout de même car de toute façon je n'avais pas d'autre choix.
L'humidité s’amplifiait, je sentais le vent et des gouttes d'eau qui sentaient la terre. C'était un falaise, non, un cascade qui faisait plusieurs mètres de haut. Les aboiement des chiens s'approchaient, je devais faire quelque chose. J'avais fait quelques pas vers le bord de la cascade dont le bruit était assourdissant. Un homme sortait de derrière un arbre et mon pointait avec son arme. La cascade ou les balles. Etre broyé par les rocher et mis en charpie par des balles et les chiens... Le choix était fatal mais c'était un choix. Je regardais l'homme, grognant face à lui les griffes sortie, menaçant et je sautais dans l'eau.