Allison ne connaissait pas Fox Creek. Elle avait acheté une petite propriété à l’ouest de la ville qui comprenait une maison de taille moyenne, une écurie de 20 boxes, quelques bâtiments et 40 hectares de prairies fermées.
La petite ferme avait été bien entretenue par la famille qui y vivait et la retraite ayant sonné, ils avaient mis la propriété en vente pour se rapprocher de leurs enfants partis vivre en ville il y a fort longtemps.
Cette propriété était trop petite pour intéresser les grands propriétaires et la terre était de mauvaise qualité pour l’élevage des bovins ou la culture.
Cela était idéal pour la jeune femme et ces chevaux qui allaient arriver dans quelques semaines. Entre temps elle devait emménager et aménager les locaux pour qu’elle puisse travailler correctement.
C’était la première fois qu’elle se baladait en ville. Les lieux lui étaient inconnus mais pas le noms des boutiques et des petites entreprises locales. En effet depuis plusieurs mois elle investissait ici en achetant des locaux commerciaux de-ci, de-la et en les louant via la société qu’elle avait créé quand elle était étudiante.
Elle n’était pas aisée mais elle n’était pas dans le besoin. Ses affaires étaient positives mais elle devait faire très attention à bien étudier ses projets et avoir une activité lucrative principale ici.
Elle avait garé le vieux pick-up Dodge Ram qu’elle avait acheté une semaine plus tôt non loin de la boutique de matériel d’équitation car elle avait besoin de devis pour faire installer des abreuvoirs automatiques chauffant dans son écurie pour gagner du temps pour les soins de ses chevaux. En effet, ne pas à avoir à remplir des abreuvoirs tous les jours ou les dégeler en hiver représente un gros gain de temps et lui évitera probablement d’engager un employer pour l’aider.
En arrivant dans le magasin qui était gigantesque, elle réalisa tout de suite qu’elle n’était plus au Texas à cause du type d’équipement proposé. Et oui au revoir la chaleur et la poussière, bonjour le froid et la neige.
Malgré cela elle ne se sentait pas trop dépaysée car un cheval reste un cheval et certains équipements ne changent pas.
Allison savait que dès qu’elle parlerait les gens sauraient qu’elle est une étrangère mais cela ne l’inquiétait pas. Pour le moment, habillée comme elle l’était elle faisait couleur locale grâce à son vieux jean troué, ses vieilles bottes de cow-boy et un gros blouson épais.
Avant de voir la vendeuse pour lui demander d’ouvrir un compte professionnel dans ce magasin, demander des infos pour ses abreuvoirs et déposer une annonce où elle offrait un emploi de dresseur / entraîneur pour ses chevaux, Allison s’était rendu dans le rayon équipement du cavalier. Elle avait ce qu’il fallait pour monter à cheval l’été mais pas pour l’hiver et elle ne pouvait pas se permettre de tomber malade en ayant pris froid car elle n’avait pas de pantalon ou chaussures adaptées.
Elle avait commencé par sélectionner quelques pantalons à sa taille et quand elle voulu se rendre aux cabines d’essayages, elle échappa sans le faire exprès deux pantalons en passant trop près d’une jeune femme.
Confuse et gênée par sa maladresse elle s’excusât immédiatement.
Oh pardon.
Excusez-moi, je n’ai pas fait exprès j’ai vu un peu trop gros.
Tout va bien? Dit-elle avec un accent texan très prononcé.
Ennuyée elle ramassa ce qu’elle avait fait tomber avec difficulté car les 3 autres pantalons étaient très épais à cause de leurs protections contre la pluie et le froid.
La petite ferme avait été bien entretenue par la famille qui y vivait et la retraite ayant sonné, ils avaient mis la propriété en vente pour se rapprocher de leurs enfants partis vivre en ville il y a fort longtemps.
Cette propriété était trop petite pour intéresser les grands propriétaires et la terre était de mauvaise qualité pour l’élevage des bovins ou la culture.
Cela était idéal pour la jeune femme et ces chevaux qui allaient arriver dans quelques semaines. Entre temps elle devait emménager et aménager les locaux pour qu’elle puisse travailler correctement.
C’était la première fois qu’elle se baladait en ville. Les lieux lui étaient inconnus mais pas le noms des boutiques et des petites entreprises locales. En effet depuis plusieurs mois elle investissait ici en achetant des locaux commerciaux de-ci, de-la et en les louant via la société qu’elle avait créé quand elle était étudiante.
Elle n’était pas aisée mais elle n’était pas dans le besoin. Ses affaires étaient positives mais elle devait faire très attention à bien étudier ses projets et avoir une activité lucrative principale ici.
Elle avait garé le vieux pick-up Dodge Ram qu’elle avait acheté une semaine plus tôt non loin de la boutique de matériel d’équitation car elle avait besoin de devis pour faire installer des abreuvoirs automatiques chauffant dans son écurie pour gagner du temps pour les soins de ses chevaux. En effet, ne pas à avoir à remplir des abreuvoirs tous les jours ou les dégeler en hiver représente un gros gain de temps et lui évitera probablement d’engager un employer pour l’aider.
En arrivant dans le magasin qui était gigantesque, elle réalisa tout de suite qu’elle n’était plus au Texas à cause du type d’équipement proposé. Et oui au revoir la chaleur et la poussière, bonjour le froid et la neige.
Malgré cela elle ne se sentait pas trop dépaysée car un cheval reste un cheval et certains équipements ne changent pas.
Allison savait que dès qu’elle parlerait les gens sauraient qu’elle est une étrangère mais cela ne l’inquiétait pas. Pour le moment, habillée comme elle l’était elle faisait couleur locale grâce à son vieux jean troué, ses vieilles bottes de cow-boy et un gros blouson épais.
Avant de voir la vendeuse pour lui demander d’ouvrir un compte professionnel dans ce magasin, demander des infos pour ses abreuvoirs et déposer une annonce où elle offrait un emploi de dresseur / entraîneur pour ses chevaux, Allison s’était rendu dans le rayon équipement du cavalier. Elle avait ce qu’il fallait pour monter à cheval l’été mais pas pour l’hiver et elle ne pouvait pas se permettre de tomber malade en ayant pris froid car elle n’avait pas de pantalon ou chaussures adaptées.
Elle avait commencé par sélectionner quelques pantalons à sa taille et quand elle voulu se rendre aux cabines d’essayages, elle échappa sans le faire exprès deux pantalons en passant trop près d’une jeune femme.
Confuse et gênée par sa maladresse elle s’excusât immédiatement.
Oh pardon.
Excusez-moi, je n’ai pas fait exprès j’ai vu un peu trop gros.
Tout va bien? Dit-elle avec un accent texan très prononcé.
Ennuyée elle ramassa ce qu’elle avait fait tomber avec difficulté car les 3 autres pantalons étaient très épais à cause de leurs protections contre la pluie et le froid.