L’implication d’une rencontre.( Pv Charlie McGee )

[Butch Walker]

L’implication d’une rencontre.


Butch, c’est installer sur Los Angeles, il y a peu de temps pour diverse motivation. La première était de mettre de la distance entre ses problèmes et lui-même. La seconde était de rester dans l’éloignement afin de rester en vie de manière à essayer de se sortir d’une accusation de meurtre. Il s'est dit qu’il se devait de ce de merder par lui-même, sa vie n’avait pas été un fleuve tranquille. Il avait tout abandonné derrière lui, mais vraiment tout. Il avait eu l’intelligence de vendre sa boutique de tatouage bien avant d’être en fuite. Il avait eu un enchaînement de problèmes, ce qui est décrit toute sa vie. Lui qui voudrait que l’on lui foute une paix royale, c'était trop demander. Il à découvert certaines choses qui auraient du rester loin de lui. Mais une fois qu’il avait récolté les données informatiques, il s'était retrouvé avec une cible sur lui. Pour faire un résumé, il avait un gang sur le dos plus un homme d’affaires peu scrupule. Sans oublier une vie privée chaotique une rumeur l’agaçais profondément ne sachant pas si cela était vrai ou simplement un moyen qu’elle l’attire à lui afin de le récupérer ou tout simplement le piégé avec soit disant qu’elle avait eu une petite fille de lui. Il y avait de quoi être méfiance, tout en restant discret sur Los Angeles. Il était parti de là-bas de manière à se protéger de tous ces désagréments qui lui empoisonnent la vie. Il était déplacé en cachant ses déplacements de manière à ne pas être retrouvée ce qui lui laisserait le temps de connaître le moyen de s’en sortir. Il avait même créé sa mort accidentelle lors d’un déplacement ce qui pouvait laisser croire à sa mort. Il avait fait la chose de manière à reprendre un nouveau départ tout en travaillant à s’innocenter à distance une fois qu’il aurait la certitude de détenir toutes les preuves, il saurait faire face à la justice qui pour l’instant est bien loin de savoir qu’il est en vie. Il a dû travailler tout au long de ses déplacements parfois dans des bars mal fréquentés d’autres fois dans des petits garages sent se faire remarquer.

Il est arrivé sur Los Angeles il y a un mois s’installant dans un appartement modeste. En recherchant un job. Il se fait engager chez Jo, un vieux papi qui est le propriétaire un garage dans un coin tranquille de la ville. Le vieux n'a pas été chiant, il a testé Butch sur ses compétences aux réparations des voitures. Il bosse depuis trois semaines sur place. Butch reste un garagiste discret qui évite les ennuis.


On n’était pas loin de la fermeture du garage… mais il y avait encore un rendez-vous que Jo avait noté rapidement sur l’emploi du temps il avait juste noté « Projet de restauration de voiture avec le nom Mlle McGee » C était presque illisible tellement il avait dû noter ce rendez-vous à la va-vite heureusement que Butch à une très bonne vue, Jo venait le voir avec l’intention de partir en demandant à Butch de faire la fermeture après ce dernier rendez-vous.

Il venait de se prendre un verre d’eau même s’il avait très envie de se taper une bière bien fraîche. Il ne pouvait pas t’en qu’il était au travail. Il avait ouvert sa combinaison de travail la maintenant à la taille par les manches serré sur sa taille, en restant avec son marcel noir moulant laissant voir sa musculature avec certains de ses tatouages même s’il la fin de journée était la chaleur ne manquait pas. Il entendit des pas derrière lui en se retournant une jeune femme aux cheveux long lui apparu.


- Je peux vous aider ?

[Elizabeth Corday]

Charlie avait beau faire partie de la jeunesse dorée de la ville, elle connaissait la valeur de l'argent et n'était en rien une dépensière écervelée. D'ailleurs, elle ne comptait ni sur la fortune de sa mère et de son beau-père. Depuis qu'elle était adulte, elle utilisait uniquement ce que son père lui avait laissé en héritage et la somme versée par le comité directeur du Cook County Hospital Chicago en dédommagement de la mort de son père et des actes de harcèlement qu'il avait subit après son accident. C'est donc grâce à cela qu'elle payse ces études, son appartement et ce qui lui faut pour vivre.
Son père lui avait aussi laissée un certain nombre d'objets dont une voiture ancienne qui avait besoin d'être remise en état. Vivant en ville, la jeune femme utilisait principalement les transports en commun, et le véhicule prenait la poussière dans le parking de son immeuble. Il s'agissait d'une vieille BMW 850 qu'elle connaissait très bien pour avoir fait quelques voyages avec son père. La conserver était plus une question sentimentale qu'utilitaire.

Charlie avec cherché un professionnel qui pourrait l'aider dans la prendre pour un pigeon. Et avant de se lancer elle préférait demander quelques devis avant de laisser le véhicule dans un garage. Elle savait quels éléments devaient être revus en priorité comme le pont, la vidange de la boite de vitesse, le changement des toutes les durites, vérifier que le v12 qui est en réalité deux 6 cylindres en ligne collé et toujours synchronisé. Après il restait l'intérieur à rafraîchir, les sièges en cuirs avaient vécus et ils avaient besoin d'un bon entretien.
Ce jour-là elle était exceptionnellement venue travailler en voiture pour aller voir un des professionnels qu'elle avait repéré en sortant de sa garde. Consciente de l'heure tardive, elle n'avait pas quitté sa tunique et portait simplement un sweat léger de son ancienne université par-dessus sa blouse qui ne laissait aucun doute sur l'endroit où elle pouvait travailler.

Le garage allait fermé dans 30 minutes et malgré une circulation chargée qui n'était pas apprécié par ce vieux moteur atmosphériques qui avait besoin d'une grande quantité d'air frais, elle était à peu près dans les temps. Elle se gara sur le parking et éteint le moteur dont le ventilateur tournait encore fort pour refroidir le vieux moteur dont le défaut était de chauffer trop vite. C'était une allemande après tout. Elle était faite pour le froid, pas pour les grandes températures de californie.
La jeune femme entra, et toqua à la porte pour prévenir la ou les personnes présentes de sa présence.

Bonjour...
Je suis Charlie McGee, j'ai rendez-vous pour un devis de restauration.

[Butch Walker]

Il appréciait ce job qu’il fessait parfaitement bien. Son parton Jo, il se doutait bien qu’il eût des problèmes, mais jamais il n’en avait discuté. Chacun gardait ses problèmes. Depuis son arrivé sur Los Angeles il avait tout fait pour éviter les en merde. Il n’oubliait pas l’accusation de meurtre qui portait au-dessus de sa tête, bien qu’il était innocent, il était vraiment difficile de faire comprendre aux fédéraux que toute cette affaire était une grosse manipulation le problème, était que tout lui était tomber sur lui. Il avait besoin de travailler sur son innocence à distance était mieux vu qu’il était recherché par les fédéraux et les manipulateurs de cette situation, les premiers le mettraient directement en prison et le second lui ferrait la peau autant dire qu’il se devait d’être prudent en toute circonstance. La dernière rencontre lui avait laisser une trace sur son corps, il lui avait tiré dessus la balle lui avait transpercer l’épaule il lui avait fallu beaucoup de temps pour retrouver son épaule en état presque normal parfois, il ressent encore une douleur lancinante qui n’est pas permanente, mais plus éphémère cela le ramène à l’ordre de ses problèmes. On n'a tous des problèmes dans la vie certains sont plus important que d’autres. Butch s’était fait à sa nouvelle existante. Il a tendance à vite prendre la vie comme elle débarque.


Butch venait de se retourner en posant le regard sur la femme qui venait de lui faire face. C’était une cliente ou une future cliente quoi qu’il en soit il se devait de répondre. Il venait de lui demander s’il pouvait l’aider. Il s’avère que c’est son dernier rendez-vous de la journée. Elle se présentait comme Mlle McGee. Cool, il allait pouvoir faire le devis si s’en était vraiment un Jo a une tendance oubliée de bien noter les choses, est-ce qu'il le fait expert ou c’est peut-être la vieillesse qui lui joue des tours. En la regardant… Il ne devait pas la regarder plus attentivement cela allait lui apporter que des problèmes. Il avait tendance à les cumuler depuis un certain temps.

La jeune femme semblait sortir de son travail en voyant le mixe de la tenue qu’elle portait. Il espérait que ce soir son dernier rendez-vous tardif au cas contraire, il était loin de faire la fermeture. La journée avait été très chargée, il avait envie de décompresser.

- je vous attendais Mlle McGee, quelle est le modèle de votre voiture ? C’est bien pour un devis ? C’est bien ça ? Jo le patron, il a complètement oublié certaines choses à mettre en évidence…Dit-il avec un sourire en coin. Vous bossez à l’hôpital ? Butch n’était pas fan des hôpitaux, il avait de très mauvais souvenir, mais il en fessait souvent l'abstraction. Elle portait une blouse même si elle l’avait recouvert par son haut.

Jo son parton, il n’avait pas vraiment noté d’information sur ce rendez-vous donc c'était à lui de tout faire. Butch ne rechignait jamais au travail. Il était bien content d’avoir trouvé cette place, le garage était dans un secteur loin du centre-ville, il n’attirait pas les regards plus qu’il n’en fallait surtout, il était loin du commissariat.

- J’aurais besoin que vous remplissiez ce formulaire pendant que j’analyse votre voiture. Puis-je avoir les clefs ? Au bruit qu’elle a fait en arrivant, elle ne doit pas être jeune.

[Elizabeth Corday]

A son arrivée un homme s’était retourné et avait répondu positivement à sa présentation. Son rendez-vous avait bien été validé car le jeune homme l’attendait. Il lui demandait si elle venait bien pour un devis car son patron ne lui avait pas donné toutes les informations. Charlie comprenait parfaitement ce type de situation et cela ne la dérangeait pas de lui expliquer la raison de sa venue.

Oh oui…
C’est bien pour un devis, j’avais vu avec la personne au téléphone qu’il s’agit d’un devis payant car je dois étudier ce que vous proposez comme présentation.
Quel modèle ?


Charlie était un peu étonnée de la question car les personnes travaillant dans ce milieu reconnaissaient souvent cette voiture avec son avant particulier et sa rareté. Toutefois comme il s’agissait d’une allemande peu courante aux états unis et surtout en Californie elle ne n’inquiéta pas et lui répondis avec plaisir.

Alors c’est une BMW, vu le logo vous l’avez certainement deviné et ça ne vous aides pas.
Il s’agit plus précisément d’une série 8 de 1993. C’est une 850 CSI donc v12 5,6 litres essence atmosphérique de 380cv.
Elle fonctionne très bien mais elle a besoin d’être restaurée. Elle est ancienne et tout ce qui est durites, joints doivent être changés. Pareille pour tous les fluides.
Il faudrait aussi chiffrer la révision du moteur, du pont et de la boîte de vitesse.
Par contre pour le train arrière autodirectionel… je sais pas. C’est assez particulier.
Et pour finir, est-ce que vous pouvez aussi chiffrer le rafraîchissement de l’intérieur notamment des sièges en cuir? Je n’ai pas trop eu le temps de les nettoyer ou de les graisser et sur les bourrelet côté conducteur la couleur commence à passer. Bon par chance il n’y a pas eut de lait hydratant pour bébé ce qui évite beaucoup de problèmes…


La jeune femme n’était pas forcément une passionnée de voiture mais elle tenait à cet héritage et elle en prenait soin. Le seul moyen d’y arriver était de connaître les particularités et de l’entretenir.
Elle ne voulait pas paraître pointilleuse ou pimbêche mais elle était simplement précise et elle savait ce qu’elle voulait.

Oh heu…
Je n’ai pas d’exigence en matière de délais. Je ne l’utilise pas beaucoup. C’est plus un souvenir auquel je tiens.

Charlie ne s’en était pas rendue compte mais elle n’avait fait que parler de sa voiture alors que le mécanicien lui avait aussi demandé si elle travaillait à l’hôpital. Elle rougie, un peu honteuse et regarda machinalement le pantalon qu’elle portait. En effet elle était habillée un peu comme un clown mais elle s’en fichait et elle n’avait pas trop de temps à perdre pour s’occuper du paraître qu’elle trouvait futile.

Oui c’est exactement ça. Vous avez bien deviné. Je suis étudiante en médecine et je me suis dépêché en terminant ma garde pour venir ici en espérant ne pas être trop en retard. Je n’aime pas vraiment déranger les gens.

Il lui demandait de remplir un document et les clés de la voiture, sans doute pour la prise en charge ce qui était tout à fait logique. Charlie pris de documents et commença à compléter les informations habituelles tel que le nom, prénoms …
Elle lui tendi les clés gentiment tout en continuant de compléter de documents. Une fois fait elle se rapprocha de nouveau du mécanicien et lui rendait le formulaire.

Oui elle est assez ancienne, presque 30 ans.
Elle était à mon père. C’est un des rares souvenirs que j’ai de lui.
Est-ce que vous pourriez me donner une copie de votre prise en charge c’est pour mon dossier ?

[Butch Walker]

- Je comprends bien, elle fait partie de vos souvenirs avec votre père, on va faire ce devis, et bien entendu, je vous présenterais une copie sans problème. alors nous partons pour un devis d’expertise afin de voir comment va votre BMW ? La mécanique n’est qu’un obit parmi d’autres, de base, je suis tatoueur alors je n’ai pas vraiment apprêté l'attention à son ronronnement, mais ne vous inquiété pas, je suis un bon mécanicien. Je vais aller passer un petit moment avec votre véhicule. Voudrez-vous boire quelque chose ? Vous avez un distributeur dans le coin salle d’attente cela vous fera passer le temps.

La jeune femme semblait y tenir à son véhicule, elle sait parfaitement son modèle ce qui est plutôt rare pour son âge, il l’avait bien regardé. Il allait faire son job. Jo exagère, il aurait pu être plus précis sur son bout de papier, mais bon, il se fait vieux et ronchon. Elle semblait bien connaître son bolide en l’entendant parler, elle aurait pu passer pour un mécano. Il lui montrait la salle réservée au client où elle pourrait attendre tranquillement après une journée de travail la jeune femme pourrait se poser et boire une boisson chaud ou froide. Il se ferrait tard.

- Suivez-moi Mlle McGee, il marchait vers le lieu en lui-même puis il lui ouvrait la porte vitrée, vous pouvez attendre ici, le distributeur est juste en face quelques sièges et des revues. Par contre, je vais fermer le garage afin que d'autres clients ne débarque pas, j’apprécierais ne pas me retrouver avec du boulot en supplément même s’il se fait tard les gens ne font pas vraiment attention, puis une fois qu’ils franchissent la grille et la porte du garage, ils ne sont pas enclin à accepter un refus. Vous avez rendez-vous donc je vais aller établir votre devis, à plus.


Une fois le contrôle intérieur fait Butch ouvre le capot le constat était sans appel les durits et joints on ajoute les fluides, le moteur, la boite de vitesse le plant arrière plus le rafraîchissement de l’intérieur et les sièges sent oublié le bourrelet. … La facture était salée. Le contrôle avait demandé du temps. Il fois que c'était établie, il se débarbouillait les mains, il ferait le tour du véhicule tout en rangeant tout ce qu’il avait dû utiliser. Un moment sur l’ordinateur pour faire la recherche des pièces et des prix de ce qu’il avait besoin pour cette restauration. Il lui restait à taper le contre rendu, il se serait bien griller une clope, mais pour ça, il devait attendre d’avoir fini son service, il avait les crocs. Vu l’heure et le faite qu’il n’avait pas bouffé grand-chose de la journée. Il partirait directement se manger un morceau juste après que Mlle McGee soit partie la pauvre allait vite déchanter vu la facture. Elle pourrait toujours s’arranger avec Jo pour le payement si elle décidait de le faire ici.

Butch conduisait la voiture à l’extérieur de son boxe en retirant le plastique qui recouvrait le siège conducteur. Il fermait la portière et marchait jusqu'à Mlle McGee qui était toujours dans la salle d’attente. Il se pointait sans sa tenue de travail, mais en jean son blouson en cuir et son casque de moto au bras une fois qu’il franchit la porte, il se dirige vers le comptoir il passe derrière pose son casque sur le côte puis il pianote sur l’ordinateur tout en s’adressant à sa cliente.

- Désolé, du retard, j’ai dû prendre du temps, votre devis comporte pas mal de réparation et rénovation. Je me devais d’être bien attentif.

Le devis est établi le document qui répertorie tout sort de l’imprimante. Il la tend à sa cliente lui expliquant que l’on peut s’arranger à faire la restauration par étape ce qui serait plus évident financièrement.

[Elizabeth Corday]

La jeune femme écoutait les réponses du mécaniciens qui acceptait de préparer un devis pour les réparations. Elle avait un budget qu'elle ne pouvait pas dépasser et elle devait faire des choix entre la qualités des réparations et tout ce qu'elle pourrait faire revoir.
Puis il se mit à lui parler de sa vie et elle sentait le moment gênant arriver. Déjà il lui avouait que la mécanique n'était qu'un hobby et qu'en vérité il était tatoueur. Elle était venue ici pour avoir à faire à un professionnel, pas à un bricoleur du dimanche et elle commençait à craindre que tout et n'importe quoi soit fait sur sa voiture.
Charlie regarda l'homme d'un air inquiet puis elle décida d'en savoir un peu plus. Elle n'avait pas le temps ni les moyens de laisser faire n'importe quoi sur sa voiture. Puis elle se ravisa car il ne s'agissait que d'un devis ce qui ne l'engageait à rien mis à part le paiement du devis si elle ne faisait pas faire les réparations dans ce garage.

Pardonnez-moi, mais quel est lien entre tatoueur et mécanicien? Vous avez étudier la mécanique ou vous avez appris sur le tas? Charlie ne marchait pas ses mots et généralement elle allait droit au but. Tourner autour du pot était une perte de temps.

Pour ce qui est du temps qu'il vous faut pour faire le devis, vous pouvez prendre votre temps car je vais y aller, j'ai du travail et je vais prendre le bus pour rentrer. Comme ça vous serez tranquille. Il n'y a rien de plus agaçant que d'avoir quelqu'un qui regarde ce que vous faites par dessus votre épaule.


Par ces mots elle refusait poliment la proposition de boire quelque chose ou manger un truc dans le distributeur. D'ailleurs les barres chocolatés pleines de sucre et de graisses ne font pas partie de ce qu'elle mange.

Il voulait qu'elle le suive pour attendre dans une salle d'attente mais elle ne pouvait pas. Elle avait beaucoup trop de choses à faire comme revoir certains points de ces cours pour être prête pour sa journée du lendemain. D'ailleurs il lui annonçait qu'il allait fermer le garage alors autant le laisser tranquille. Hélas il ne luis avait pas trop laissé le choix car il voulait bosser dessus tout de suite et lui donner le devis sur le champ. Elle savait qu'il y en aurait pour des heures et elle n'était pas ravie de devoir rester là à attendre alors qu'elle devait simplement laisser la voiture là et revenir une semaine plus tard.

Merci pour votre proposition mais je vais rentrer chez moi et comme vous le dites vous allez fermer donc autant vous laisser seul.
Vous pourrez regarder la voiture plus tard. De toute façon je n'en n'ai pas besoin car je me déplace en métro ou en bus. Elle n'est pas adaptée à la ville. Mais je vous que vous voulez absolument tout regarder maintenant... Bon... Ok...

Ne voulant pas être lourde, elle fit ce que l'homme lui demandait et s'installa dans la salle d'attente et se mis à faire ses révisions sur place. Ce n'était pas vraiment ce qu'elle avait prévu mais au moins elle étudiait. Puis elle vit le gars se barrer revenir bien plus tard en moto. Elle fulminait intérieurement car elle voulait partir et il avait insisté pour qu'elle reste. Tout se temps perdu alors qu'elle aurait pu rentrer chez elle et se reposer et étudier. Elle était dégoûtée.
Quand il revint vers elle en parlant du devis elle se leva et le regarda agacée.


Ok...
Je vous avez dis que je vous laissais la voiture et que je comptais rentrer chez moi, que vous aviez tout votre temps pour faire un devis car je ne suis pas pressée et que je ne l'utilise pas.
Vous avez insisté pour que je reste là, vous faites vos vérifications et vous vous barez. Ca fait 3 heures que je poireaute là alors que je pourrais étudier au calme chez moi.
Fous vous fichez de moi ou quoi?

[Butch Walker]

Il n’aurait pas dû dire à sa cliente qu’il était tatoueur pourquoi avait il été sur cette voix ? Elle n’en avait rien à foutre par politesse, il lui avait répondu rapidement, il avait changé de sujet. Cette parenthèse s’était refermée juste après lui avoir répondu.

- - Je suis apte à faire la deux Mlle McGee.

Butch avait eu des ordres donnés par son patron, il n’avait pas vraiment eu la possibilité de refuser. Il avait besoin de ce boulot les temps étaient dur, il n’était pas ici en voulant fuir, il avait fini sa fuite sur Los Angeles, après avoir travaillé comme barman, puis livreur, sans oublier bien nombre d’activité qui n'était pas la sienne, ce boulot avait été une aubaine, comme il avait toujours baigné dans la mécanique, il avait réussi à convaincre Jo de l’embaucher pour quelques mois. Quand il était revenu avec le devis en main, sa cliente était de mauvaise humeur et agacée elle s’était rapidement lever comme si elle n’attendait que ça depuis un moment elle ne manquait pas de lui rappeler qu’elle lui avait bien dit qu’elle voulait partir, qu’il aurait pu faire le devis plus tard.

- Effectivement ce sont bien vos mots, je suis désolé mais j’ai suivi les ordres de mon patron maintenant si vous n’être pas contente, je vous suggère dans référer à Jo ok ? Je suis désolé si j’ai gâché votre soirée, vous aurez-du prendre ce rendez-vous à un autre moment qui vous aurait été plus évident. J’ai fait mon job perso, j’avais fini de travailler quand vous êtes arrivée donc j’avais autre chose de programmer.

Il n’en revenait pas comment les choses se sont retourné. Si elle avait vraiment décidé de ne pas rester, il était simple qu’elle parte d’ici. Maintenant, c'était trop facile de s’en prendre à lui. Son véhicule avait bien plus de réparation qu'a vu d'œil.

- Les vérifications ont demandé plus de temps que prévu, ce sont les aléas de la vie dans votre profession cela arrive aussi non ? Je n’ai aucun intérêt à me foutre de vous Mlle McGee.

Il lui tendit des documents du devis et l’engin de son véhicule. Lui aussi, il n’était plus vraiment de bonne humeur. Elle avait réussi à le contrarier. Il allait se casser une fois qu’elle partirait. Butch pourrait aller s’en griller une puis il partirait au bar se détendre un peu. Putain de journée de merde…

- Je vous libère Mlle McGee…. Vous pouvez récupère votre voiture, et si vous voulez la laisser, c’est ok... Maintenant, il est temps que l’on quitte le garage.

Elle est bien une femme tout de suite 3h, elle exagère peut-être qu'il avait pris un peu plus de temps, mais pas autant merde ! Il était en rogne comment tout pouvait vite devenir ainsi ? Sérieusement ! Jo avait intérêt à ne pas le chercher, car il n'était pas homme à se laisser faire, que ce ne soit pas une femme, ni par son parton au pire, il irait bosser autre par la vie est déjà assez merdique pour subir le mécontentement d'une cliente.

Il partait vers le coin ou il avait laissé son casque de bécane, il retirait sa combinaison de travail, se retrouvant en jean et son haut puis attraper son blouson en cuir sans oublié sa paire de botte. De l’autre main, il cherchait son paquet de clopes dans la veste de son blouson. Il ne savait pas si elle était encore là où pas vu qu’il lui avait tourné le dos. Il le saurait une fois qu'il allait se retourner.

[Elizabeth Corday]

Charlie ne faisait pas facilement confiance. Elle prenait son temps pour connaître les gens et voir si côtoyer la personne pourrait être intéressant ou dangereux pour elle. Contrairement à ce qu’on pourrait croire au premier coup d’oeil, Charlie se fichait des origines, du cursus universitaire ou de l’emploi de ces interlocuteurs. Ce qui comptait pour elle c’était la personnalité et la loyauté.
Son interrogation sur les compétences du jeune homme étaient légitimes. Elle n’avait pas les moyens de faire n’importe quoi et de se retrouver avec un véhicule endommagé ou dangereux. Elle était aussi consciente qu’une personne pouvait faire une reconversion professionnelle ou avoir deux emplois. Ce qu’elle voulait c’était l’assurance d’un travail bien fait.


Ok je vous crois.
C’est juste que le tatouage est quelque chose de très artistique et la mécanique est tout son contraire.
Les deux sont potentiellement complémentaires mais c’est étonnant.



Ce point était clos mais dans l’esprit de la jeune femme, quel que chose la perturbait mais elle ne savait pas quoi. Elle n’ajouta rien ne voulant pas faire sa « Karen » et ennuyer inutilement une personne.

Quelques heures plus tard alors qu’elle devait juste déposer sa voiture et partir le temps de recevoir un devis quelques jours plus tard, Charlie s’était retrouvée à devoir étudier dans une salle d’attente bruyante. Ce n’était pas vraiment l’endroit idéal pour revoir une procédure chirurgicale qu’elle devrait exécuter le lendemain sous le contrôle de son superviseur. Elle était au début de ce nouveau cursus et elle ne pouvait pas perdre de temps ou commettre des erreurs. Charlie avec donc beaucoup de pression et de stress car tout était nouveau pour elle et des fois elle se demandait si elle ne s’était pas trompée dans ces choix.

Devant la succession de mal entendus entre elle et le mécanicien, elle s’était montrée agacée et assez sèche ce qui dévoilait un certain caractère. En effet, elle avait beau être une « petite » nana blonde, Charlie n’avait pas pour habitude de se laisser marcher sur les pieds et elle n’hésitait pas à le montrer.

Quand il lui expliquait qu’il avait suivi les ordres de son patron elle trouvait que les indications étaient idiotes car un devis ça prend du temps et au-delà de 18h00 les gens ont pas mal de choses à faire.
Charlie aurait normalement du laisser courir mais quand le mécanicien s’excusait de lui avoir gâché la soirée elle eut l’impression de ressentir du mépris et ça elle ne pouvait pas laisser passer.
Il lui expliquait que le devis avait pris plus de temps que prévu mais qu’il était prêt. Et il lui tendait le document et les clés avant de s’éloigner et se préparer à partir en précisant qu’il la libérait. Et ça c’était le pompom.
Elle hésitait à partir sur le champ sans regarder le devis mais elle était tout de même curieuse. Bien qu’elle n’y connaissait rien, elle savait comparer les indications écrites entre deux documents.
Elle avait déjà fait un autre devis auprès d’une concession BMW et ils n’avaient pas noté autant de choses que le tatoueur tout en étant plus cher. La question était si le travail serait aussi soigné et de confiance. Vu la réputation du garage elle savait où elle était tombée. Le problème c’était l’accueil mais elle n’était pas là pour une manucure.

Elle fit quelques pas en lisant à nouveau la liste des travaux à effectuer et le montant. Puis elle posa le document sur le comptoir, pris un stylo, signa le devis avec le bon pour accord et fit le chèque d’acompte. Le gars était toujours là et elle comptait bien en finir avec lui et lui donner les papiers et les clés avant de rentrer chez elle.

Elle marcha d’un pas décidé vers l’homme et sa moto mais elle s’arrêtera à un petit mètre de lui.


Hey!
C’est pas ma faute si toi et ton boss vous ne vous comprenez pas. Et si vous n’écoutez pas les gens à qui vous avez à faire.
J’ai demandé si je pouvais passer déposer une voiture pour devis avant la fermeture et vous la laisser. Il a dit oui. Je vous demande si je peux y aller vous dites non. Je suis polie, je reste. Je suis désolée si vous avez dû bosser plus tard que prévu mais je n’ai jamais demandé un devis urgent.
Et pour ce qui est de la soirée gâchée, je devais bosser moi aussi et j’ai perdu mon temps.
Demain je dois effectuer une procédure importante pour moi et je n’ai pas pu étudier comme il faut alors désolée si je suis agacée on est tout les deux dans le même cas.
Oh et merde ça me saoule ces conneries j’ai pas le temps pour ça…


Elle se rendait compte de l’absurdité de la situation car au final ils étaient tout les deux piégés à cause d’un gars qui n’était même pas là…

Votre boss est un abruti et on en a tous des comme ça.
Voilà le devis signé et l’acompte. Vous n’avez pas bossé pour rien.


Charlie avait posée le devis, le chèque et les cles de la voiture sur le réservoir puis fis un pas un arrière.

Salut et désolée pour l’agacement… La fatigue, les nerfs… tout ça tout ça…

Sur ces mots elle se retourna et marcha vivement en direction de la sortie en ajustant son sweet et en remettant en place son gros sac à dos.
Puis elle consulta son smartphone pour trouver le transport le plus proche pour rentrer chez elle. Devant le garage, elle faisait défiler la liste des possibilités. Elle avait le choix entre le métro et le bus mais dans les deux cas elle avait de la marche.
Le vent souffle légèrement et la nuit était tombée. Elle était agacée car seule dans un endroit qu’elle ne connaissait pas, el’e se sentait en danger.

[Butch Walker]

Ce soir, tout allait de travers, cette jeune femme était venue avec l'intention de nous confier son véhicule malheureusement, Jo ne m'avait pas spécifié que le devis pouvait attendre ce qui avait engendré un mal entendu qui l'avait mit de mauvaise humeur pourquoi ? Parce que cela n'était pas la première fois que Jo lui jouait des tours. De plus, il avait impérativement besoin de décompresser, il avait enchaîné pas mal de véhicule. Il allait enfin être libéré.

Avant de se retourner, il entendit la cliente s’exprimer que tout cela n’était pas de sa faute qu’elle avait dit à Jo que ce devis n’était pas urgent, ce qu’elle venait de lui envoyer en pleine face, c’est que nous n’étions pas capables de communiquer correctement entre nous. Il encaisse sent broncher au premier abord. Puis elle s’excusait ce qui fit dégager sa contrariété du moins une partie, elle avait de quoi faire ce soir du coup cela fessait que nous avions perdu notre temps pour un devis qui aurait pu attendre tout simplement le lendemain.

- Désolé, une mauvaise compréhension, c’est installer, Jo exagère vraiment, je lui en toucherai deux mots demain. La journée a été longue et surcharger.

Il venait de se retourner tout en attrapent les clefs afin de pouvoir fermer le garage pour ce soir. Il s’approchait de la jeune femme qui lui disait que Jo était un idiot, elle venait de signer le devis et lui déposant sur le comptoir, il tendit la main pour le récupérer et le poser sur l’étagère à cet effet avec la clef de la voiture. Il se contentait de la remercier, il allait enfin pouvoir partir se détendre un peu avant d’aller pioncer. Une chose était sur la jeune femme avait un certain charme, son caractère ne restait pas en arrière ce qui le fit sourire intérieurement. Devant elle, il gardait son air contrarié.

- Merci Mlle McGee.

Il comprenait que l’épuisement d’une longue journée, l’agacement et l’énervement pouvait faire péter un câble a l’importe qui, elle s’excisait et partait. Il n’avait pas eu de temps pour lui répondre la meilleure chose à faire était qu’il ferme et se casse lui aussi. Il sortait à son tour en fermant les portes et les grilles puis il récupérait sa bécane en sortant cette fois du périmètre du garage en fermant le portail de l’extérieur. Le vent souffle légèrement et la nuit était tombée. Il montait sur sa bécane après avoir tiré sur une clope tout en regardant la jeune femme seule qui cherchait comment rentrer chez elle vu l’heure tardive il ne lui restait plus beaucoup d’option. Il aurait dû se casser tout simplement, mais bon, il ne se voyait pas partir et la laisser seule car ce n’était pas un coin sur la nuit s’était peu éclairer parfois les ruelles sont bien mal fréquenté, il ruminait avait de ce décidé à aller l’accoster toujours sur sa bécane, il s’était séparé du mégot qu’il avait écrasé au sol.

Il avait retiré son casque en arrivant près de la jeune femme en la regardant, il lui propose de la raccompagner chez elle. Vu qu'il ne voulait pas qu'elle reste seule dans la ruelle. Puis elle avait encore beaucoup de révision à réaliser pour demain s'il la ramenait elle pourrait s'avancer vu qu'elle avait perdu son temps au garage. Butch était devant la jeune femme assis sur sa bécane.

- Je vous propose de vous ramener chez vous Mlle McGee.Avant qu'elle ne puisse refuser ou même commencer à en débattre. Butch la fixait de manière qu'elle comprenne qu'il n'allait pas attendre indéfiniment.-Il est temps de partie.

[Elizabeth Corday]

Le jeune homme n’y était pour rien dans cette histoire qui était au final qu’une succession de malentendus et d’erreurs. Rien n’interdisait à la jeune femme de partir. Pourquoi était-elle restée ? Elle n’était pas obligée d’obéir. Charlie réalisait qu’en fait elle aussi était en partie responsable du problème dans l’histoire et elle aurait du faire preuve de plus de caractère pour que cela ailles dans son sens. Ca lui servirait de leçon pour la prochaine fois.

L’histoire s’était à peu près bien terminée. Le devis était validé, elle avait payé l’acompte et il ne lui restait plis qu’à rentrer chez elle et cela risquait d’être une sacrée aventure. Toutefois rien n’était perdu car elle avait des idées et elle était entrain de commander un Uber pour être reconduite chez elle.

Entre temps le garagiste s’était rapproché d’elle et il lui proposait de la ramener en lui faisant comprendre qu’elle n’attendrait pas.
La jeune femme hésitait car après tout elle ne le connaissait pas et son Uber n’arriverait pas avant 20 minutes. Elle regarda le jeune homme et repensant à la manière dont elle était habillée et les accidentés de la route qu’elle avait vu pendant ses différents stages aux urgences. Puis elle se dit que parfois il fallait saisir sa chance.


Vous avez un casque?

[Butch Walker]

Il la dévisageait avec un sourire en coin elle semblait hésiter, ce qui ne l'étonnait pas du tout. C'est le genre de nana à réfléchir de trop. Il évitait de râler parce qu'elle mettait une plombe à se bouger. Il voulait finir sa soirée à boire une bière en vidant son esprit.

- Le Uber va mettre une plombe, il se pourrait bien que la pluie déboîte.

Elle le regardait avant de lui demander s’il avait un casque, chose qu’il avait dans la main, Butch lui tendait qu’elle puisse le mettre quant à lui, il roulerait sent. En venant bosser, il n’avait pas besoin d’en prendre deux surtout qu'en ce moment il ne sortait avec personne donc, un casque était largement suffisant. Sa dernière meuf lui cassait les burnes du coup, il l’avait largué expressément. Quand la nana commence à être trop envahissante ou chiante Butch sent sépare. Il avait déjà assez d’en merde dans sa vie pour se coltiner une nana qu’il l’emmerde à tout bout de champ. Il se doutait bien qu’elle allât être réticente. Butch lui allait la rassurer.

- Je vais rouler pénard donc rien à craindre. Je vous pose chez vous et je me casse ok ?

T’en qu’elle ne s’activait pas à mettre le casque et a monter derrière lui, il était difficile de démarrer. Butch lui demandait son adresse afin de la déposer. Il savait parfaitement où elle habitait vu qu’il l’avait lu sur le document. Du coup, il fit l’ignorant. Sa crainte, c’est qu'elle se mette a déblatéré sur la sécurité que de rouler sans casque, c’est un danger et blablabla ce qui le gonflerait grave. Bon faut sérieusement qu’elle se bouge, ou il se casse sa bière l’attendait, il avait besoin de se détendre avant de rentrer chez lui. Il était tard bordel !

-Bon alors c’est Ok ou pas ?

Dès qu'elle enfilerait son casque en s'approchant en posant son joli petit cul sur la bécane, il lui faudrait s'accrocher à lui, il démarrerait tout de suite le bolide, comme convenu, il éviterait de rouler comme un dingue, il le ferait au retour en direction du bar qui n'était pas loin de chez lui.

[Elizabeth Corday]

Charlie n'était pas du genre à prendre les choses à la légère ou agir sur un coup de tête. En effet, elle réfléchissait à tout mais c'était dû à ce qu'elle étudiait depuis des années. Elle pesait toujours le pour et le contre et elle prenait en compte les conséquences de ces actes. Car quoi que l'on fasse, chaque action à des conséquences.
Le garagiste avait une attitude qu'elle n'appréciait pas. Ce n'était pas du au fait qu'il ne soit pas tout mielleux avec elle. Charlie n'était pas venue dans ce garage pour se faire cirer les pompes mais pour avoir un bon entretien pour sa voiture. Mais ce qui ne lui allait pas c'était el côté agressif du gars. Elle qui appréciait le calme et les choses bien lisses et sans surprises.

Il lui proposait de la ramener chez elle. C'était gentil de sa part mais elle acceptait rarement pour des raisons de sécurité évidente. Après tout elle vivait seule dans Los Angles et tout pouvait arriver. Toutefois l'immeuble était sécurité et elle ne risquait rien.
Le problème de casque la dérangeait fortement. Pendant ces stages aux urgences elle avait vu tellement de traumatisme crâniens aux conséquences dramatiques que cela la dérangeait. Elle préférait donc attendre, même prendre la pluie comme il le disait que de faire courir un risque au jeune homme.
Mais ce lui fit refuser sa proposition ce fut son insistance car elle n'aimait pas qu'on lui force la main.

Elle se rapprocha du jeune homme et le regarda sérieusement.

Je vous remercie pour votre proposition mais je vais refuser.
Je ne veux pas que vous risquiez votre sécurité pour moi.
Là où je travaille on reçois trop de patients blessés et votre casque c'est votre assurance vie.
Prenez-soins de vous c'est la choses la plus importante.
Je vais prendre un Uber et me rapprocher à pied d'une rue plus fréquentée.
Ne vous en faites pas pour moi. Je sais me débrouiller.

Charlie était franche avec lui. Elle ne voulait pas qu'il risque sa sécurité pour elle.
Bon il lui aurait fallu des gants et un blouson de moto pour être bien équipé car les brûlures de peau à cause du frottement sur le sol font aussi mal. Mais au moins son cerveau était protégé.
Il y avait tellement de circulation ici que tout pouvait arriver.

Allez rentrez-chez vous, vos journées sont assez chargées comme ça.

[Butch Walker]

Il lui avait proposé de la déposer, mais se doutait bien que tout n'allât pas être si simple elle bosse dans le médical. Du coup, il la dévisageait quand elle s'avançait vers lui avec un regard sérieux, un peu trop peut-être. Il ne bougeait pas. Il s'attendait à un refus, sinon elle aurait déjà poser son fessier sur l'arrière de la bécane.

- Je m'en doutais bien, dit-il...Il ne s'attendait pas a qu'elle s'inquiète pour lui. Il l'écoutait avant de lui répondre calmement. -Ok , ça marche rentrée bien Mlle McGee.


Il n'y avait rien à faire, la sécurité était sa priorité. Elle taf à l'hôpital du coup, elle avait dû voir de sacrés trucs, quant à lui, il avait besoin de partir se détendre cette journée avait été surchargée, et la fin compliquée. Il n'avait pas été loquace en lui répondant l'important était qu'il s'était radouci. Butch n'avait rien à répliquer.

- Vous aussi rentrée bien... Bye !

Il enfilait son casque et démarrait l'engin en partant. Il routait en direction du bar en traversant quelques ruelles. Avant d'immobilisé sa bécane derrière l'impact derrière le bar. Il arrêtait sa moto, il retirait son casque avant de se lever une fois que la béquille était entrain de maintenir la bécane. Il se déplace vers l'entrée du bar après avoir contourné le béton. Il pénétrait dans se bar plein de monde avec son casque dans la main, il avait retirer ses gants, en allant directement vers le bar où il filait ses affaires à son poté. Il demandait une bière qui ne tardait pas à glisser sur le comptoir jusqu'à lui. Il y avait de ma musique, des motards venait de se pointé. Il avait faim, son réfrigérateur était vide, il n'avait pas eu le temps de faire des courses, il buvait sa bière puis il partait s'installer à une table. Butch avait passer une commande de quoi bouffer, il avait prit une bavette à l'échalotte et des frites et une seconde bière.