Santé
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- L'amour c'est comme le vent, on ne le voit pas mais on peut le sentir. (Le temps d'un automne)
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RE:Santé
Ce que tu décris est la parfaite caricature de l`alcool : levée de l`inhibition et cie. Et là est le danger, car on se croit au-dessus des loi, des autres, ... Sans en être réellement conscient. Mais ce n`est pas pour rien que les agressions arrivent sous les effets de l`alcool (ou des drogues qui ont les mêmes effets). Vitesse, assurance, augmentation de la violence : accidents, viols, agressions, .................Evidemment, moi même je bois un coup en soirée ! Ca détend ^^Simplement de faire attention car tomber dans l`extrème est très facile : un coup de mou, du stress, ... Et paf !
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RE:Santé
et tes potes ? Ils sont sobres ?L`effet de groupe quand tout le monde est bourré peut être un facteur de danger.Je ne dis pas que tu es un danger publique à chaque fois mais il suffit d`une fois. Mais si vous restez sur place et tout bah pas de soucis. Veillez les uns sur les autres les accidents vont vite malheureusement.
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J`en ai un qui tient pas l`alcool, et un autre qui évite de trop boire car il conduit.En parlant d`effet de groupe. Quand ces mes potes, j`arrive à me lâcher, par contre quand j`ai des copines bourré, je bois, je bois, et rien... Obligé de rester claire pour "veiller" sur elle, c`est grave docteur?Ah et au fait pour le gueule de bois boire autant d`eau qu`on boit d`alcool (en alternant les 2, genre un erre de chaque), testé et approuvé.
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Tu bois pour ramener les gens ? :/Pour la gueule de bois l`aspirine marche bien apparemment. Un patient un jour m`avait donné THE recette selon lui mais me rappelle plus.Et boire de l`eau aide aussi car cela permet de moins boire aussi
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Maggy a écrit:
Tu bois pour ramener les gens ? :/Oulà non surement pas. En plus j`ai pas le permis moi. Non ce que je voulais dire c`est qu`il me semble aussi que l`état d`esprit doit jouer du coup, parce que quand un mec est bourré je fais moins gaffe, par contre si c`est une copine, je vais plus faire attention à elle, du coup bah j`arrive pas à être bourré.
Citation :
Pour la gueule de bois l`aspirine marche bien apparemment. Un patient un jour m`avait donné THE recette selon lui mais me rappelle plus.Et boire de l`eau aide aussi car cela permet de moins boire aussiPour le fait de boire de l`eau, ça me fait pas moins boire d`alcool. Par contre ça permet de ne pas être trop déshydraté, ce qui est, selon un médecin, la raison de la gueule de bois. Après j`ai testé, et c`est vrai que boire de l`eau en buvant de l`alcool fonctionne à merveille.Pour l`aspirine, c`est pas ça qui est mauvais avec l`alcool. Sinon sur moi ça n`enlève pas les effets de la gueule de bois (doliprane et nurofen idem)...
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Vous n`êtes pas des mecs ça se voit. Vous êtes habitué à aller chez le gynéco vous. Pour les mecs, c`est pas vraiment le cas pour rappel.Après si je tombe sur une démato ça me dérangera moins (oui je sais y a des gars c`est le contraire) surtout si elle est mignonne, mais c`est une autre histoire xD.
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Mouais, tu sais je dois déjà aller chez un dentiste et je n`y ai toujours pas été. Si je te faisais la liste de toutes les raisons qui devraient me pousser à aller voir tel ou tel médecin... Et je n`y vais jamais.Après ça ne vient pas d’apparaître aujourd`hui, et depuis lors ça n`a pas l`air d`évoluer.
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Ah non entre le je me rappelle pas d`une soirée, et le je m`en rappelle, la sensation (d`autant que je ne suis pas du tout dans le même état d`esprit) n`est pas la même. Après j`ai jamais dit être totalement sobre, mais je suis largement plus conscient de ce que je fais et de ce que les autres font.
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RE:Santé
Je parle des effets phsyiologiques : baisse des réflexes et autres. Pas des sensations psycho : elles dépendent de l`état d`esprit, de la fatigue ...
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Mouais avec tout les grains de beautés bizarres que j`ai sur le corps, il est étonnant que je n`ai pas déjà choppé de cancer de la peau en même temps donc....D`ailleurs c`est quoi les signes?
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Réflexes je ne sais pas, mais j`arrive toujours à coordonner mes mouvements par contre. Et j`ai l`esprit claire, bon par contre je suis un peu plus violent que d`habitude (mais je peux le géré de façon purement consciente).Après il se peut que dans ses cas là je boive moins. Mais étant donné que je ne fait jamais attention à ma consommation d`alcool (ou du moins que je m`arrête pas après 2 verres) j`en doute.
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Réflexe et coordination n`ont rien à voir. Tes mouvements coordonnés sont réfléchis. Les réflexes c`est par exemple freiner en urgence car en face la voiture pile. C`est pouvoir se rattraper au blacon si on bascule par-dessus.C`est scientifique les réflexes sont largement diminués. Ils le sont quand on fatigue, alors quand on boit tu imagines !
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Les capotes ça se trouve gratuitement assez facilement (lycée et cie). Pour la pilule pourquoi pas, d`autant que j`ai vu en pharmacie un truc qui m`a un peu choqué une fois. Une jeune entre demande une pilule du lendemain, la pharmacienne, lui demande sa carte d`identité mais WTF?Pour ce qui est de l`information que j`ai eu au lycée/collège, elle était très bien. Mais trop répétitive et tout le monde s`en moquait, mais elle étai bien présente et ce en ZEP, donc j`ai du mal à croire que ce ne soit pas le cas partout :/
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Oui mais je ne conduit pas et j`ai assez de réflexe pour les trucs habituelles.Et que je sache la coordination des gens en état d`ivresse baisse aussi, car ne pas savoir marché le long d`une ligne droite c`est pas un réflexe ça.
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Comme je t`ai dit si je te faisais la liste des raisons qui font que je doit voir un médecin, tu n`y croirais pas.Mais outre le fait que je n`aime pas les médecins, je n`ai jamais été très santé. Et puis que je meurs d`un truc ou d`un autre franchement. Quant au fait de vouloir mourir le plus tard possible, c`est pas mon trip.
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Perso je suis pour, par contre je doute qu`un de mes organes puisse servir à quoique ce soit (je fume, je mange très mal, je suis myope, je bois, etc.).Après le problème je pense n`est pas vraiment le don d`organe mais le fait qu`on vienne demander ça à une personne en deuil. Je veux dire les médecins n`ont pas le choix, faut que ce soit fait assez tôt, mais quelque soit la façon dont s`est amené, je comprends ceux qui ne se sentent pas respecté par une telle question.
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Ce n`est pas la coordination mais l`équilibre.L`absorption d`alcool a des incidences physiologiques et psychologiques diverses.
Effets de court terme. L`alcool est un dépresseur du système nerveux central et agit principalement sur le jugement mais aussi sur les fonctions motrices. Les premiers effets de l`alcool peuvent apparaître en moins de 5 minutes après absorption. Ses effets sont notamment une légère euphorie, une perte partielle de la gêne et l`impression de mieux exprimer ses pensées, ses émotions ou son état d`être[réf. nécessaire]. À forte dose, l`alcool agit sur les fonctions motrices ; une perte d`équilibre peut se faire sentir, ainsi que des troubles de coordination et de la vision, étourdissements, parfois accompagnés de nausées et de vomissements, une insensibilité à la douleur et même parfois au toucher. Sur le plan psychologique, l`alcool peut altérer la capacité de jugement, la mémoire immédiate, et conduire à des troubles émotionnels pouvant mener à un état dépressif[réf. nécessaire].
Troubles et dépendance. La consommation de boissons alcooliques, tant aiguë que chronique, peut mener à des troubles sévères. Voir alcoolisme, binge drinking.
Lésions cérébrales. Une consommation excessive d`alcool (binge drinking), même de manière occasionnelle, entraine des lésions irréversibles au cerveau. De même, la question de la nocivité de l`éthanol sur les neurones est toujours en suspens.
Grossesse. Un risque spécifique concerne les enfants nés de mères ayant consommé pendant leur grossesse. Voir syndrome d`alcoolisation fœtale.
Cancers. L`alcool, même à dose modérée, accroit le risque de survenue de plusieurs types de cancers (l`éthanol est classé dans la liste de cancérogènes du groupe 1 du CIRC). Le risque est plus élevé pour les consommations importantes [10]. Par exemple, d`après le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une femme consommant 50 g d`alcool par jour (5 verres de bière ou 5 verres de vin) augmente son risque de développer un cancer du sein de 50 \%. Mais pour 18 g/jour (2 verres) l`augmentation reste déjà significative (+ 7 \%). Pour une consommation modérée, les études se contredisent : ainsi, des études ont fixé la limite de consommation ayant des effets bénéfiques à 3 verres pour les hommes et 2 pour les femmes, une étude plus récente de l`Inca, préconise l`abstinence complète (Cette dernière étude statistique ne prenant apparemment pas en compte la consommation ou non de tabac chez les sujets interrogés, il convient cependant de la prendre avec circonspection). Une étude de cohorte européenne de prospective sur la relation nutrition et cancer (EPIC) en 2011 précise les taux de cancers : pour une consommation supérieure à 24 g/jour chez les hommes (12 g/jour chez les femmes), 10 \% des cancers chez l`homme - dont plus de 50 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie et colorectal - sont attribuables à l`alcool (3 \% chez la femme dont 80 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie, colorectal et du sein)[11].
Visage. L`alcool dilate les vaisseaux sanguins, ce qui donne, en cas de consommation chronique, un visage rosé/rouge (pour les personnes leucodermes), voire œdémateux et violacé avec des yeux rougis.
L`impact cardio-vasculaire. Cette question a fait l`objet de publications contradictoires et d`une grande médiatisation. À la lecture des résultats d`enquêtes prouvant la plus faible mortalité cardiovasculaire en Grande-Bretagne qu`en France (années 1980), on[Qui ?] a été amené à penser que la consommation modérée d`alcool réduisait le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ainsi que la mortalité secondaire associée à ces dernières. Cette diminution du risque a été retrouvée quel que soit le type d`alcool absorbé[12]. Ces résultats sont toutefois contestés par une étude de 2007 qui fait l`analyse des travaux antérieurs à partir d`une hypothèse de Shaper et ses collègues[13]. La plupart des études à ce sujet reposeraient en effet sur une erreur systématique consistant à inclure dans la catégorie des abstinents les personnes qui ont diminué ou arrêté leur consommation d`alcool à cause de leur problème de santé ou la prise de médicaments[13]. Les quelques études qui ne commettent pas cette erreur montrent le même risque de maladies cardio-vasculaires pour un abstinent, que pour un consommateur léger ou un modéré[13]. D`autres soulignent que ces études ont été réalisées alors que l`épidémiologie française était en retard sur la britannique[14].
On[Qui ?] a longtemps cru, à tort, que « l`alcool donnait des forces » ou qu`il réchauffait. Il s`agirait plutôt des propriétés vaso-dilatatrices et cardio-vasculaires conjuguées qui produisent une sensation de bien-être.Globalement, en dépit des quelques effets positifs éventuellement observés, l`alcool reste un problème de santé publique majeur en France. Ainsi « les morts violentes ou directement liées à l`alcool (cancers des voies aérodigestives supérieures, mais aussi cirrhose) sont environ trois fois supérieures de ce côté-ci de la Manche »[14]. Les impacts cardiovasculaires de l`alcool sont contrastés : « une consommation modérée s`accompagne d`une amélioration du profil lipidique (augmentation du HDL cholestérol) et d`une diminution de la coagulation ; les accidents cardiaques par obstruction (athérome, thrombose) seraient donc diminués. En revanche, la consommation d`alcool provoque une élévation de la pression artérielle, donc une augmentation du risque d`accident cardiovasculaire par hémorragie »[14].
Effets de court terme. L`alcool est un dépresseur du système nerveux central et agit principalement sur le jugement mais aussi sur les fonctions motrices. Les premiers effets de l`alcool peuvent apparaître en moins de 5 minutes après absorption. Ses effets sont notamment une légère euphorie, une perte partielle de la gêne et l`impression de mieux exprimer ses pensées, ses émotions ou son état d`être[réf. nécessaire]. À forte dose, l`alcool agit sur les fonctions motrices ; une perte d`équilibre peut se faire sentir, ainsi que des troubles de coordination et de la vision, étourdissements, parfois accompagnés de nausées et de vomissements, une insensibilité à la douleur et même parfois au toucher. Sur le plan psychologique, l`alcool peut altérer la capacité de jugement, la mémoire immédiate, et conduire à des troubles émotionnels pouvant mener à un état dépressif[réf. nécessaire].
Troubles et dépendance. La consommation de boissons alcooliques, tant aiguë que chronique, peut mener à des troubles sévères. Voir alcoolisme, binge drinking.
Lésions cérébrales. Une consommation excessive d`alcool (binge drinking), même de manière occasionnelle, entraine des lésions irréversibles au cerveau. De même, la question de la nocivité de l`éthanol sur les neurones est toujours en suspens.
Grossesse. Un risque spécifique concerne les enfants nés de mères ayant consommé pendant leur grossesse. Voir syndrome d`alcoolisation fœtale.
Cancers. L`alcool, même à dose modérée, accroit le risque de survenue de plusieurs types de cancers (l`éthanol est classé dans la liste de cancérogènes du groupe 1 du CIRC). Le risque est plus élevé pour les consommations importantes [10]. Par exemple, d`après le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une femme consommant 50 g d`alcool par jour (5 verres de bière ou 5 verres de vin) augmente son risque de développer un cancer du sein de 50 \%. Mais pour 18 g/jour (2 verres) l`augmentation reste déjà significative (+ 7 \%). Pour une consommation modérée, les études se contredisent : ainsi, des études ont fixé la limite de consommation ayant des effets bénéfiques à 3 verres pour les hommes et 2 pour les femmes, une étude plus récente de l`Inca, préconise l`abstinence complète (Cette dernière étude statistique ne prenant apparemment pas en compte la consommation ou non de tabac chez les sujets interrogés, il convient cependant de la prendre avec circonspection). Une étude de cohorte européenne de prospective sur la relation nutrition et cancer (EPIC) en 2011 précise les taux de cancers : pour une consommation supérieure à 24 g/jour chez les hommes (12 g/jour chez les femmes), 10 \% des cancers chez l`homme - dont plus de 50 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie et colorectal - sont attribuables à l`alcool (3 \% chez la femme dont 80 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie, colorectal et du sein)[11].
Visage. L`alcool dilate les vaisseaux sanguins, ce qui donne, en cas de consommation chronique, un visage rosé/rouge (pour les personnes leucodermes), voire œdémateux et violacé avec des yeux rougis.
L`impact cardio-vasculaire. Cette question a fait l`objet de publications contradictoires et d`une grande médiatisation. À la lecture des résultats d`enquêtes prouvant la plus faible mortalité cardiovasculaire en Grande-Bretagne qu`en France (années 1980), on[Qui ?] a été amené à penser que la consommation modérée d`alcool réduisait le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ainsi que la mortalité secondaire associée à ces dernières. Cette diminution du risque a été retrouvée quel que soit le type d`alcool absorbé[12]. Ces résultats sont toutefois contestés par une étude de 2007 qui fait l`analyse des travaux antérieurs à partir d`une hypothèse de Shaper et ses collègues[13]. La plupart des études à ce sujet reposeraient en effet sur une erreur systématique consistant à inclure dans la catégorie des abstinents les personnes qui ont diminué ou arrêté leur consommation d`alcool à cause de leur problème de santé ou la prise de médicaments[13]. Les quelques études qui ne commettent pas cette erreur montrent le même risque de maladies cardio-vasculaires pour un abstinent, que pour un consommateur léger ou un modéré[13]. D`autres soulignent que ces études ont été réalisées alors que l`épidémiologie française était en retard sur la britannique[14].
On[Qui ?] a longtemps cru, à tort, que « l`alcool donnait des forces » ou qu`il réchauffait. Il s`agirait plutôt des propriétés vaso-dilatatrices et cardio-vasculaires conjuguées qui produisent une sensation de bien-être.Globalement, en dépit des quelques effets positifs éventuellement observés, l`alcool reste un problème de santé publique majeur en France. Ainsi « les morts violentes ou directement liées à l`alcool (cancers des voies aérodigestives supérieures, mais aussi cirrhose) sont environ trois fois supérieures de ce côté-ci de la Manche »[14]. Les impacts cardiovasculaires de l`alcool sont contrastés : « une consommation modérée s`accompagne d`une amélioration du profil lipidique (augmentation du HDL cholestérol) et d`une diminution de la coagulation ; les accidents cardiaques par obstruction (athérome, thrombose) seraient donc diminués. En revanche, la consommation d`alcool provoque une élévation de la pression artérielle, donc une augmentation du risque d`accident cardiovasculaire par hémorragie »[14].
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Ce n`est pas la coordination mais l`équilibre.L`absorption d`alcool a des incidences physiologiques et psychologiques diverses.
Effets de court terme. L`alcool est un dépresseur du système nerveux central et agit principalement sur le jugement mais aussi sur les fonctions motrices. Les premiers effets de l`alcool peuvent apparaître en moins de 5 minutes après absorption. Ses effets sont notamment une légère euphorie, une perte partielle de la gêne et l`impression de mieux exprimer ses pensées, ses émotions ou son état d`être[réf. nécessaire]. À forte dose, l`alcool agit sur les fonctions motrices ; une perte d`équilibre peut se faire sentir, ainsi que des troubles de coordination et de la vision, étourdissements, parfois accompagnés de nausées et de vomissements, une insensibilité à la douleur et même parfois au toucher. Sur le plan psychologique, l`alcool peut altérer la capacité de jugement, la mémoire immédiate, et conduire à des troubles émotionnels pouvant mener à un état dépressif[réf. nécessaire].
Troubles et dépendance. La consommation de boissons alcooliques, tant aiguë que chronique, peut mener à des troubles sévères. Voir alcoolisme, binge drinking.
Lésions cérébrales. Une consommation excessive d`alcool (binge drinking), même de manière occasionnelle, entraine des lésions irréversibles au cerveau. De même, la question de la nocivité de l`éthanol sur les neurones est toujours en suspens.
Grossesse. Un risque spécifique concerne les enfants nés de mères ayant consommé pendant leur grossesse. Voir syndrome d`alcoolisation fœtale.
Cancers. L`alcool, même à dose modérée, accroit le risque de survenue de plusieurs types de cancers (l`éthanol est classé dans la liste de cancérogènes du groupe 1 du CIRC). Le risque est plus élevé pour les consommations importantes [10]. Par exemple, d`après le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une femme consommant 50 g d`alcool par jour (5 verres de bière ou 5 verres de vin) augmente son risque de développer un cancer du sein de 50 \%. Mais pour 18 g/jour (2 verres) l`augmentation reste déjà significative (+ 7 \%). Pour une consommation modérée, les études se contredisent : ainsi, des études ont fixé la limite de consommation ayant des effets bénéfiques à 3 verres pour les hommes et 2 pour les femmes, une étude plus récente de l`Inca, préconise l`abstinence complète (Cette dernière étude statistique ne prenant apparemment pas en compte la consommation ou non de tabac chez les sujets interrogés, il convient cependant de la prendre avec circonspection). Une étude de cohorte européenne de prospective sur la relation nutrition et cancer (EPIC) en 2011 précise les taux de cancers : pour une consommation supérieure à 24 g/jour chez les hommes (12 g/jour chez les femmes), 10 \% des cancers chez l`homme - dont plus de 50 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie et colorectal - sont attribuables à l`alcool (3 \% chez la femme dont 80 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie, colorectal et du sein)[11].
Visage. L`alcool dilate les vaisseaux sanguins, ce qui donne, en cas de consommation chronique, un visage rosé/rouge (pour les personnes leucodermes), voire œdémateux et violacé avec des yeux rougis.
L`impact cardio-vasculaire. Cette question a fait l`objet de publications contradictoires et d`une grande médiatisation. À la lecture des résultats d`enquêtes prouvant la plus faible mortalité cardiovasculaire en Grande-Bretagne qu`en France (années 1980), on[Qui ?] a été amené à penser que la consommation modérée d`alcool réduisait le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ainsi que la mortalité secondaire associée à ces dernières. Cette diminution du risque a été retrouvée quel que soit le type d`alcool absorbé[12]. Ces résultats sont toutefois contestés par une étude de 2007 qui fait l`analyse des travaux antérieurs à partir d`une hypothèse de Shaper et ses collègues[13]. La plupart des études à ce sujet reposeraient en effet sur une erreur systématique consistant à inclure dans la catégorie des abstinents les personnes qui ont diminué ou arrêté leur consommation d`alcool à cause de leur problème de santé ou la prise de médicaments[13]. Les quelques études qui ne commettent pas cette erreur montrent le même risque de maladies cardio-vasculaires pour un abstinent, que pour un consommateur léger ou un modéré[13]. D`autres soulignent que ces études ont été réalisées alors que l`épidémiologie française était en retard sur la britannique[14].
On[Qui ?] a longtemps cru, à tort, que « l`alcool donnait des forces » ou qu`il réchauffait. Il s`agirait plutôt des propriétés vaso-dilatatrices et cardio-vasculaires conjuguées qui produisent une sensation de bien-être.Globalement, en dépit des quelques effets positifs éventuellement observés, l`alcool reste un problème de santé publique majeur en France. Ainsi « les morts violentes ou directement liées à l`alcool (cancers des voies aérodigestives supérieures, mais aussi cirrhose) sont environ trois fois supérieures de ce côté-ci de la Manche »[14]. Les impacts cardiovasculaires de l`alcool sont contrastés : « une consommation modérée s`accompagne d`une amélioration du profil lipidique (augmentation du HDL cholestérol) et d`une diminution de la coagulation ; les accidents cardiaques par obstruction (athérome, thrombose) seraient donc diminués. En revanche, la consommation d`alcool provoque une élévation de la pression artérielle, donc une augmentation du risque d`accident cardiovasculaire par hémorragie »[14].
Effets de court terme. L`alcool est un dépresseur du système nerveux central et agit principalement sur le jugement mais aussi sur les fonctions motrices. Les premiers effets de l`alcool peuvent apparaître en moins de 5 minutes après absorption. Ses effets sont notamment une légère euphorie, une perte partielle de la gêne et l`impression de mieux exprimer ses pensées, ses émotions ou son état d`être[réf. nécessaire]. À forte dose, l`alcool agit sur les fonctions motrices ; une perte d`équilibre peut se faire sentir, ainsi que des troubles de coordination et de la vision, étourdissements, parfois accompagnés de nausées et de vomissements, une insensibilité à la douleur et même parfois au toucher. Sur le plan psychologique, l`alcool peut altérer la capacité de jugement, la mémoire immédiate, et conduire à des troubles émotionnels pouvant mener à un état dépressif[réf. nécessaire].
Troubles et dépendance. La consommation de boissons alcooliques, tant aiguë que chronique, peut mener à des troubles sévères. Voir alcoolisme, binge drinking.
Lésions cérébrales. Une consommation excessive d`alcool (binge drinking), même de manière occasionnelle, entraine des lésions irréversibles au cerveau. De même, la question de la nocivité de l`éthanol sur les neurones est toujours en suspens.
Grossesse. Un risque spécifique concerne les enfants nés de mères ayant consommé pendant leur grossesse. Voir syndrome d`alcoolisation fœtale.
Cancers. L`alcool, même à dose modérée, accroit le risque de survenue de plusieurs types de cancers (l`éthanol est classé dans la liste de cancérogènes du groupe 1 du CIRC). Le risque est plus élevé pour les consommations importantes [10]. Par exemple, d`après le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une femme consommant 50 g d`alcool par jour (5 verres de bière ou 5 verres de vin) augmente son risque de développer un cancer du sein de 50 \%. Mais pour 18 g/jour (2 verres) l`augmentation reste déjà significative (+ 7 \%). Pour une consommation modérée, les études se contredisent : ainsi, des études ont fixé la limite de consommation ayant des effets bénéfiques à 3 verres pour les hommes et 2 pour les femmes, une étude plus récente de l`Inca, préconise l`abstinence complète (Cette dernière étude statistique ne prenant apparemment pas en compte la consommation ou non de tabac chez les sujets interrogés, il convient cependant de la prendre avec circonspection). Une étude de cohorte européenne de prospective sur la relation nutrition et cancer (EPIC) en 2011 précise les taux de cancers : pour une consommation supérieure à 24 g/jour chez les hommes (12 g/jour chez les femmes), 10 \% des cancers chez l`homme - dont plus de 50 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie et colorectal - sont attribuables à l`alcool (3 \% chez la femme dont 80 \% des cancers des voies aérodigestives supérieures, du foie, colorectal et du sein)[11].
Visage. L`alcool dilate les vaisseaux sanguins, ce qui donne, en cas de consommation chronique, un visage rosé/rouge (pour les personnes leucodermes), voire œdémateux et violacé avec des yeux rougis.
L`impact cardio-vasculaire. Cette question a fait l`objet de publications contradictoires et d`une grande médiatisation. À la lecture des résultats d`enquêtes prouvant la plus faible mortalité cardiovasculaire en Grande-Bretagne qu`en France (années 1980), on[Qui ?] a été amené à penser que la consommation modérée d`alcool réduisait le risque de survenue de maladies cardio-vasculaires ainsi que la mortalité secondaire associée à ces dernières. Cette diminution du risque a été retrouvée quel que soit le type d`alcool absorbé[12]. Ces résultats sont toutefois contestés par une étude de 2007 qui fait l`analyse des travaux antérieurs à partir d`une hypothèse de Shaper et ses collègues[13]. La plupart des études à ce sujet reposeraient en effet sur une erreur systématique consistant à inclure dans la catégorie des abstinents les personnes qui ont diminué ou arrêté leur consommation d`alcool à cause de leur problème de santé ou la prise de médicaments[13]. Les quelques études qui ne commettent pas cette erreur montrent le même risque de maladies cardio-vasculaires pour un abstinent, que pour un consommateur léger ou un modéré[13]. D`autres soulignent que ces études ont été réalisées alors que l`épidémiologie française était en retard sur la britannique[14].
On[Qui ?] a longtemps cru, à tort, que « l`alcool donnait des forces » ou qu`il réchauffait. Il s`agirait plutôt des propriétés vaso-dilatatrices et cardio-vasculaires conjuguées qui produisent une sensation de bien-être.Globalement, en dépit des quelques effets positifs éventuellement observés, l`alcool reste un problème de santé publique majeur en France. Ainsi « les morts violentes ou directement liées à l`alcool (cancers des voies aérodigestives supérieures, mais aussi cirrhose) sont environ trois fois supérieures de ce côté-ci de la Manche »[14]. Les impacts cardiovasculaires de l`alcool sont contrastés : « une consommation modérée s`accompagne d`une amélioration du profil lipidique (augmentation du HDL cholestérol) et d`une diminution de la coagulation ; les accidents cardiaques par obstruction (athérome, thrombose) seraient donc diminués. En revanche, la consommation d`alcool provoque une élévation de la pression artérielle, donc une augmentation du risque d`accident cardiovasculaire par hémorragie »[14].
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RE:Santé
Tout à fait ! C`est pour cela que des centres ont été montés où des personnes ne font que ça. Elles savent comment parler, comment amener les choses.Et d`où l`importance d`exprimer son choix pour éviter cet choix aux proches.après fumeur, myope et autres ou pas ce sont les médecins qui verront si oui ou non tes organes sont bons.
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RE:Santé
Pour wiki je l`ai pris parce qu`il résumait bien les trucs, j`ai pas calculé le reste.Pour la coordination oui, mais tu peux coordiner sans équilibre et inversement. Les deux sont en partie liés.L`équilibre est aussi géré par l`oreille interne : l`alcool perturbe la sensation d`équilibre et de chute. Donc ce n`est pas le tout de pouvoir se rattrape, encore faut il être capable de détecter quand il faut le faire !
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RE:Santé
Ah ! Bah je sais pas alors !Les lois changent en santé publique. Par exemple en Allemagne (et en Suisse je crois) il existe des boites pour abandonner les bébés en sécurité alors qu`en France c`est interdit.
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RE:Santé
Oui les médecins sauvent ce qu`ils veulent, mais ils vont chercher pour rien je pense xD.Par contre admettons je dois choisir pour une personne qui m`a dit explicitement être contre le don d`organe, perso j`aurais du mal à respecter cette volonté...
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RE:Santé
C`est un vision des choses ...Être grabataire et dépendant de substances qui au final sont de moins en moins efficaces (le corps s`habitue) s`appelle vivre ?Pour moi non. Et oui tu peux mourir sans souffrance : un arrêt dans le sommeil du papi, un choc violent que tu ne vois pas venir et mort sur le coup, .....La souffrance psychologique est aussi importante que la physique.
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RE:Santé
En gros oui, mais c`est pas non plus à ce point de ce que j`en ai compris. Le système Suisse est très particulier. Après ça se comprend, y a 3 langues nationales (+ une quatrième qui est parlé par genre 10 habitants mdr), les mentalités, sont vraiment différentes d`un endroit à l`autre. Enfin c`est assez particulier, et le système politique l`est tout autant si on le compare au notre.
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RE:Santé
Tu ne choisis pas. Tu exprimes des volontés. si la personne n`avait rien dit tu aurais eu un choix.Mais les personnes contre en général le font savoir par une carte ou une inscription à un fichier.Et il est plus facile de dire non au prélèvement que oui à cause de la vision que l`on peut avoir et de l`appréhension de retrouver un défun mutilé.
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RE:Santé
Tu ne choisis pas. Tu exprimes des volontés. si la personne n`avait rien dit tu aurais eu un choix.Mais les personnes contre en général le font savoir par une carte ou une inscription à un fichier.Et il est plus facile de dire non au prélèvement que oui à cause de la vision que l`on peut avoir et de l`appréhension de retrouver un défun mutilé.