[SHERLOCK] I am the angel. You are the devil. (Rating T - en cours)

[Myfanwi]

I am the angel. You are my devil.Disclaimer : Sherlock appartient à leurs auteurs. Je ne touche pas d’argent pour mes écrits.Rating : TSpoilers : Saison 3 Note de l’auteur : Merci à ma Lyria de m’avoir remis à Sherlock, c’est grâce à toi que cette fific existe.Prologue : Le ClientBaker Street n’a jamais été aussi calme. Pas de photographes ennuyeux, pas de journalistes hurlant son nom toutes les trois minutes et surtout pas un client. Le célèbre détective, Sherlock Holmes, observe sans vraiment s’y intéresser un échantillon dans son microscope. Mme Hudson est occupée à faire à manger, John et Mary font une partie de cluedo, à défaut d’autre chose pour s’amuser. Sherlock ne comprend pas cette notion. L’amusement. C’est un défaut de l’être humain. Prendre la vie pour un jeu. C’est ce que Jim Moriarty lui a appris. Moriarty. Cela faisait bientôt trois mois que le psychopathe était passé à la télévision. Sur toutes les télévisions du Royaume-Uni. Et aucune nouvelle depuis. Mycroft avait ordonné qu’il ne prenne aucune affaire tant que celle-ci ne serait pas réglée. Il avait bien essayé de contrer le ton sticte de son frère en enquêtant sur une ou deux, mais ce dernier avait réussi à bousiller ses enquêtes en envoyant Lestrade à sa place. Pour lui montrer son mécontentement, Sherlock s’était enfermé à Baker Street, avec son violon, John, Mary et Mme Hudson. Les seules personnes à qui il déniait encore parler. De son côté, le Docteur Watson était en train de bouder, vaincu une fois de plus par sa femme.« Tu as triché ! C’est pire que Sherlock, l’assassin ne peut pas être la victime…- Arrête de faire ta mauvaise tête John, tu gagneras un autre jour ! répondit la blonde. »Sherlock leva les yeux de son appareil quelques secondes avant de se reconcentrer, secouant la tête. John s’étira longuement puis attrapa l’ordinateur, parcourant une énième fois son blog, en à peine deux heures de temps. Le compteur n’avait pas bougé depuis une semaine. Il reclaqua l’objet et le rebalança sur le fauteuil. « Sur quoi tu travailles, Sherlock ? demanda t-il, finalement.- Des excréments.- Des… excréments ?- Du chihuahua d’en face, c’est intéressant ce qu’on peut trouver à l’intérieur des déjections d’un si petit chien.- Tu es sûr que ça va ? - Sherlock Holmes, gronda Mary, si tu sortais un peu de ton trou à rat, peut être que l’affaire Moriarty avançerait ! Plus vite tu l’auras coincé, plus vite tu retrouveras tes clients. Alors, au lieu de te venger sur un chihuahua, laisse ton microscope et sort de Baker Street. »Sherlock haussa un sourcil, soupira et se leva, faisant tomber son échantillon sur le sol. « C’est lui qui va me contacter. Je commence à connaître sa manière de faire. Il attend que la presse et les médias ne s’intéressse plus à lui pour refaire parler de lui de plus belle. Il faut juste lui laisser le temps, il prépare son retour. »La sonnette les surpris tous trois. Rapidement, la voix de Mme Hudson retentit en bas. John regarda suspicieusement Sherlock, sachant pertinemment ce que pensait le détective. Le Docteur soupira, levant les yeux au ciel.« Si Mycroft l’apprend…- John. Si Mycroft l’apprend, je peux très bien lui sortir l’excuse du petit frère ayant eu pitié d’une pauvre petite personne qui a sonné à sa porte à deux doigts du désespoir. On a un client.- C’est peut être une liaison amoureuse…- Tant pis.- Tant pis ?! »Ils se turent, Mme Hudson entra dans la pièce, accompagné d’un homme. Elle semblait au bord de la panique.« Je suis désolée les garçons ! Je lui ai dit de partir mais il n’a rien voulu attendre et… et…- Mme Hudson, dit calmement Sherlock. Fermez-la.- Je vais vous laisser, déclara Mary, je vais acheter une pizza… »Mary et Mme Hudson sortirent de la pièce, laissant les trois hommes seuls. John lança un regard assassin à Sherlock, le détective sachant parfaitement qu’il allait devoir s’excuser auprès de Mme Hudson. Mais M. Holmes observait avec attention son client. Il pointa la chaise et le pria de s’asseoir, avant de se jeter à son tour dans son fauteuil. John suivit le mouvement, il parlerai plus tard de l’hôte du détective. Il attrapa son calpin, et laissa les deux hommes faire la conversation.« Alors… commença le détective. Qui êtes-vous ?- John Boliso.- Je vous connais, non ? intervint Watson.- Peut être.- Expliquez nous votre cas, répliqua Sherlock, coupant John à deux doigts de discuter le nom.- Voilà. J’ai… Comme qui dirait un problème. Et un message.- Il y a une femme derrière tout ça…- Oui et non. James Moriarty a enlevé ma compagne. Et il m’a laissé un message pour vous. »Sherlock arracha le papier des mains du Docteur. A partir de maintenant, ça devenait SON problème. Sur la feuille, un « IOU » était écrit en gros. Il resta figé devant les trois lettres, étrangement familière. Il n’y avait plus de doutes possibles, ça venait de lui.« Est-ce qu’il a dit quelque chose ?- Il a dit que si je voulais revoir Olly, je devais venir vous voir, vous transmettre le message et que l’on recevrait la réponse en direct.- En direct… En direct… En direct ! John ! La télévision ! »John alluma la télévision. C’était un film romantique, totalement idiot. L’image se brouilla, comme la première fois. Le Docteur et John se lancèrent un regard, silencieux. Sur l’écran, sur un fond dessiné à la manière d’un enfant, se trouvait Moriarty, tout sourire.« Bien, bien, bien, dit-il. La partie commence maintenant, Sherlock Holmes. Si vous pensez seulement à une affaire d’enlèvement banale, détrompez-vous. Le monde entier est en danger. »

[Myfanwi]

I am the angel. You are my devil.Disclaimer : Sherlock appartient à leurs auteurs. Je ne touche pas d’argent pour mes écrits.Rating : TSpoilers : Saison 3 Note de l’auteur : Merci à ma Lyria de m’avoir remis à Sherlock, c’est grâce à toi que cette fific existe.Prologue : Le ClientBaker Street n’a jamais été aussi calme. Pas de photographes ennuyeux, pas de journalistes hurlant son nom toutes les trois minutes et surtout pas un client. Le célèbre détective, Sherlock Holmes, observe sans vraiment s’y intéresser un échantillon dans son microscope. Mme Hudson est occupée à faire à manger, John et Mary font une partie de cluedo, à défaut d’autre chose pour s’amuser. Sherlock ne comprend pas cette notion. L’amusement. C’est un défaut de l’être humain. Prendre la vie pour un jeu. C’est ce que Jim Moriarty lui a appris. Moriarty. Cela faisait bientôt trois mois que le psychopathe était passé à la télévision. Sur toutes les télévisions du Royaume-Uni. Et aucune nouvelle depuis. Mycroft avait ordonné qu’il ne prenne aucune affaire tant que celle-ci ne serait pas réglée. Il avait bien essayé de contrer le ton sticte de son frère en enquêtant sur une ou deux, mais ce dernier avait réussi à bousiller ses enquêtes en envoyant Lestrade à sa place. Pour lui montrer son mécontentement, Sherlock s’était enfermé à Baker Street, avec son violon, John, Mary et Mme Hudson. Les seules personnes à qui il déniait encore parler. De son côté, le Docteur Watson était en train de bouder, vaincu une fois de plus par sa femme.« Tu as triché ! C’est pire que Sherlock, l’assassin ne peut pas être la victime…- Arrête de faire ta mauvaise tête John, tu gagneras un autre jour ! répondit la blonde. »Sherlock leva les yeux de son appareil quelques secondes avant de se reconcentrer, secouant la tête. John s’étira longuement puis attrapa l’ordinateur, parcourant une énième fois son blog, en à peine deux heures de temps. Le compteur n’avait pas bougé depuis une semaine. Il reclaqua l’objet et le rebalança sur le fauteuil. « Sur quoi tu travailles, Sherlock ? demanda t-il, finalement.- Des excréments.- Des… excréments ?- Du chihuahua d’en face, c’est intéressant ce qu’on peut trouver à l’intérieur des déjections d’un si petit chien.- Tu es sûr que ça va ? - Sherlock Holmes, gronda Mary, si tu sortais un peu de ton trou à rat, peut être que l’affaire Moriarty avançerait ! Plus vite tu l’auras coincé, plus vite tu retrouveras tes clients. Alors, au lieu de te venger sur un chihuahua, laisse ton microscope et sort de Baker Street. »Sherlock haussa un sourcil, soupira et se leva, faisant tomber son échantillon sur le sol. « C’est lui qui va me contacter. Je commence à connaître sa manière de faire. Il attend que la presse et les médias ne s’intéressse plus à lui pour refaire parler de lui de plus belle. Il faut juste lui laisser le temps, il prépare son retour. »La sonnette les surpris tous trois. Rapidement, la voix de Mme Hudson retentit en bas. John regarda suspicieusement Sherlock, sachant pertinemment ce que pensait le détective. Le Docteur soupira, levant les yeux au ciel.« Si Mycroft l’apprend…- John. Si Mycroft l’apprend, je peux très bien lui sortir l’excuse du petit frère ayant eu pitié d’une pauvre petite personne qui a sonné à sa porte à deux doigts du désespoir. On a un client.- C’est peut être une liaison amoureuse…- Tant pis.- Tant pis ?! »Ils se turent, Mme Hudson entra dans la pièce, accompagné d’un homme. Elle semblait au bord de la panique.« Je suis désolée les garçons ! Je lui ai dit de partir mais il n’a rien voulu attendre et… et…- Mme Hudson, dit calmement Sherlock. Fermez-la.- Je vais vous laisser, déclara Mary, je vais acheter une pizza… »Mary et Mme Hudson sortirent de la pièce, laissant les trois hommes seuls. John lança un regard assassin à Sherlock, le détective sachant parfaitement qu’il allait devoir s’excuser auprès de Mme Hudson. Mais M. Holmes observait avec attention son client. Il pointa la chaise et le pria de s’asseoir, avant de se jeter à son tour dans son fauteuil. John suivit le mouvement, il parlerai plus tard de l’hôte du détective. Il attrapa son calpin, et laissa les deux hommes faire la conversation.« Alors… commença le détective. Qui êtes-vous ?- John Boliso.- Je vous connais, non ? intervint Watson.- Peut être.- Expliquez nous votre cas, répliqua Sherlock, coupant John à deux doigts de discuter le nom.- Voilà. J’ai… Comme qui dirait un problème. Et un message.- Il y a une femme derrière tout ça…- Oui et non. James Moriarty a enlevé ma compagne. Et il m’a laissé un message pour vous. »Sherlock arracha le papier des mains du Docteur. A partir de maintenant, ça devenait SON problème. Sur la feuille, un « IOU » était écrit en gros. Il resta figé devant les trois lettres, étrangement familière. Il n’y avait plus de doutes possibles, ça venait de lui.« Est-ce qu’il a dit quelque chose ?- Il a dit que si je voulais revoir Olly, je devais venir vous voir, vous transmettre le message et que l’on recevrait la réponse en direct.- En direct… En direct… En direct ! John ! La télévision ! »John alluma la télévision. C’était un film romantique, totalement idiot. L’image se brouilla, comme la première fois. Le Docteur et John se lancèrent un regard, silencieux. Sur l’écran, sur un fond dessiné à la manière d’un enfant, se trouvait Moriarty, tout sourire.« Bien, bien, bien, dit-il. La partie commence maintenant, Sherlock Holmes. Si vous pensez seulement à une affaire d’enlèvement banale, détrompez-vous. Le monde entier est en danger. »

[Hamely]

Génial une fanfic sur Sherlock ! Je suis comblée !! ♥De plus qu`elle est très bien écrite et qu`on a vraiment envie de voir la suite ! ^^Juste une petite remarque de rien du tout: Quand tu parles de John tu écris "le Docteur" mais tu es sure qu`il y a une majuscule ? Parce que là on dirait que tu parles du Docteur de Doctor Who. :3 (je chipote mais ça me triturais l`esprit haha)Que dire de plus ? Eh bien cette fic à un très bon rythme et les dialogues rappellent vraiment ceux de Sherlock, c`est super!Hâte de voir la suite, bon travail ! ^^

[Myfanwi]

x) Parce que l`habitude a pris le dessus XDDD J`écris toujours Docteur avec une majuscule x)