Les Profs
https://www.youtube.com/watch?v=xmUDottECus
- Titre VO : Les Profs
- Réalisateur : Pierre-François Martin-Laval
- Producteur : Romain Rojtman
- Scénariste : Pierre-François Martin-Laval et Mathias Gavarry, d'après la bande dessinée éponyme de Pica et Erroc
- Année de sortie : 17 avril 2013
- Durée : 88 minutes
- Pays d'origine : France
- Genre : comédie
- Studio : Les Films du 24
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- Pierre-François Martin-Laval : Antoine Polochon, professeur d'histoire-géographie
- Isabelle Nanty : Gladys, professeur d'anglais
- Christian Clavier : Serge Cutiro, professeur de mathématiques
- Kev Adams : Thierry Boulard, le cancre
- Arnaud Ducret : Éric, professeur d'éducation physique et sportive
- Stéfi Celma : Amina, professeur de lettres modernes
- Raymond Bouchard : Maurice, professeur de philosophie
- Fred Tousch : Albert, professeur de sciences physiques
- Alice David : Marie, professeur d'allemand
- François Morel : monsieur Houston, inspecteur d'académie adjoint
- Dominique Pinon : l'inspecteur d'académie
- Philippe Duclos : le proviseur
- Éric Naggar : Paul, professeur d'histoire-géographie et délégué syndical
- Yves Pignot : monsieur Miranda, gardien du lycée
- Marie-Laure Descoureaux : Dolorès, professeur d'espagnol
- Joana Person : Nectarine, première de la classe
- Nicolas Beaucaire : monsieur Blondeau
- Jean-Louis Barcelona : Marcellin Jacquard, nouvel inspecteur d'académie adjoint
- Gabriel Bismuth-Bienaimé : Quentin
- M'Barek Belkouk : Boudini
- Margaux Duval : jalouse d'Amina « Amy Whinehouse »
- Amine Lansari : l'ami de Boulard
- Solène Hébert : l'amie de Nectarine
- Sylvie Huguel : la documentaliste
- Gwendal Marimoutou : Adrien « Jackson Five »
- Aurélia Sendra : la petite à lunettes
- Binliang Peng : Jacki Cheng
- Charlotte Semerdjian : « Arc-en-ciel »
- Grégoire Bonnet : Régis Migou, le CPE
- Nawel Firmino : la déléguée des élèves 1
- Sandie Keot : la déléguée des élèves 2
- Stéphane Bak : l'élève à l'avant-bras plâtré à la cantine
- Claire Chazal : elle-même (présentatrice du journal télévisé)
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Le lycée Jules-Ferry n'affiche que 12 % de réussite au baccalauréat, ce qui fait de lui le pire lycée de France. L'inspecteur d'académie propose alors au proviseur d'engager les pires professeurs, en espérant que, paradoxalement, cela permettra au lycée de dépasser les 50 % de réussite ; faute de quoi, le lycée sera fermé. Sont alors engagés sept professeurs aux méthodes atypiques : Serge Cutiro (surnommé Tirocu par les élèves), un professeur dont on ne sait pas au départ la matière qu'il enseigne (juste excellent en maths, qui sera sa matière où il enseignera dans la suite) très fainéant, déclarant par exemple : « Aujourd'hui, on invente un exercice, on le fait, on le corrige, tout seul et en silence, hop c'est parti ! » ; Gladys, une professeur d'anglais tyrannique adepte du lancer de craie ; Albert, professeur de chimie féru d'expériences dangereuses et bizarres qui finissent la plupart du temps en explosion ; Amina, professeur de français aux courbes affriolantes ; Éric, professeur d’EPS adepte des exercices dangereux ; Maurice, professeur de philosophie québécois totalement incompréhensible (sauf quand il est sous l'emprise de l'alcool) ; et Antoine Polochon, professeur d'histoire idolâtrant Napoléon, et n'ayant jamais passé le CAPES.
Lors du premier trimestre, les parents d'élèves se plaignent des méthodes utilisées par les professeurs : le proviseur décide donc d'y remédier en les privant de leurs moyens. Malgré une légère progression des résultats des élèves, les profs se considèrent comme censurés et l'inspecteur d'académie décide de leur donner carte blanche. Mais au fur et à mesure des semaines, les résultats sont de plus en plus catastrophiques, et la réputation des profs et leurs méthodes sont telles que des élèves non inscrits dans l'établissement viennent assister aux cours. Après un bac blanc, la sentence est sans appel : seulement 3 % de réussite.
L'inspecteur d'académie révèle donc au proviseur que son intention primaire était bel et bien de fermer le lycée en engageant les pires professeurs et ainsi prendre la place du recteur d'académie. Mais Polochon l'entend et lui et ses collègues décident alors d'essayer le tout pour le tout pour sauver le lycée. Ils veulent tout d'abord voler les sujets du bac au ministère à Paris. Le vol est un succès, mais ils ont malencontreusement volé les sujets du brevet des collèges, et non du baccalauréat, ce qu'ils apprennent une fois les sujets donnés aux élèves, par ailleurs déçus et furieux contre leur équipe pédagogique.
Alors qu'il ne reste plus que deux semaines, les profs décident alors de mettre leur bonne volonté en commun pour faire en sorte que leurs méthodes ne posent plus problème aux élèves. Tout semble fonctionner, jusqu'à l'examen. Lors de l'annonce des résultats, le lycée n'obtient que 49 % de reçus (notamment à cause de l'inspecteur d'académie qui a tout fait pour que le plus d'élèves échoue à l'examen). Mais à la suite d'une demande de renvoi de l'élève Boulard par le CPE à cause de sa légendaire paresse (il retriple sa terminale et a, une fois de plus, échoué au bac), la demande est finalement passée et Boulard est renvoyé. Grâce à ce renvoi, le lycée compte un échec en moins, et est finalement sauvé en passant donc à 50 % de reçus au bac. Les professeurs engagés se voient alors donner des propositions de mutation, mais ils décident finalement de rester à Jules-Ferry. L'inspecteur quant à lui est muté en Guyane, où il se rend au lycée par la forêt amazonienne en pirogue.
Lors du premier trimestre, les parents d'élèves se plaignent des méthodes utilisées par les professeurs : le proviseur décide donc d'y remédier en les privant de leurs moyens. Malgré une légère progression des résultats des élèves, les profs se considèrent comme censurés et l'inspecteur d'académie décide de leur donner carte blanche. Mais au fur et à mesure des semaines, les résultats sont de plus en plus catastrophiques, et la réputation des profs et leurs méthodes sont telles que des élèves non inscrits dans l'établissement viennent assister aux cours. Après un bac blanc, la sentence est sans appel : seulement 3 % de réussite.
L'inspecteur d'académie révèle donc au proviseur que son intention primaire était bel et bien de fermer le lycée en engageant les pires professeurs et ainsi prendre la place du recteur d'académie. Mais Polochon l'entend et lui et ses collègues décident alors d'essayer le tout pour le tout pour sauver le lycée. Ils veulent tout d'abord voler les sujets du bac au ministère à Paris. Le vol est un succès, mais ils ont malencontreusement volé les sujets du brevet des collèges, et non du baccalauréat, ce qu'ils apprennent une fois les sujets donnés aux élèves, par ailleurs déçus et furieux contre leur équipe pédagogique.
Alors qu'il ne reste plus que deux semaines, les profs décident alors de mettre leur bonne volonté en commun pour faire en sorte que leurs méthodes ne posent plus problème aux élèves. Tout semble fonctionner, jusqu'à l'examen. Lors de l'annonce des résultats, le lycée n'obtient que 49 % de reçus (notamment à cause de l'inspecteur d'académie qui a tout fait pour que le plus d'élèves échoue à l'examen). Mais à la suite d'une demande de renvoi de l'élève Boulard par le CPE à cause de sa légendaire paresse (il retriple sa terminale et a, une fois de plus, échoué au bac), la demande est finalement passée et Boulard est renvoyé. Grâce à ce renvoi, le lycée compte un échec en moins, et est finalement sauvé en passant donc à 50 % de reçus au bac. Les professeurs engagés se voient alors donner des propositions de mutation, mais ils décident finalement de rester à Jules-Ferry. L'inspecteur quant à lui est muté en Guyane, où il se rend au lycée par la forêt amazonienne en pirogue.