Le dernier, c'est avec Robert la poupée si je ne me trompe pas ? J'essaie de retarder un peu parce que j'ai dévoré les quatre premiers en deux jours, alors du calme.
Oh oui pour le deux, et exactement pour les raisons que tu cites. Les autres sont des faits établis également, comme dans le troisième mais ça se passe au XIXème, ça se base sur des croyances que peu de gens partagent aujourd'hui (sauf dans certains coins : ma grand-mère continuait de laisser du lait et des biscuits pour les Fées et autres Lutins. Ce que j'aime malgré les moqueries et autres critiques), il y a une forme de distance qui se crée.
Ce qui n'est pas le cas avec cet épisode. Les faits sont trop proches, c'est une des raisons. On sait qu'autrefois, la prise en charge des "malades" (entre guillemets, parce que c'est relatif. Quand on pense qu'une femme pouvait être envoyée à l'asile pour avoir été en désaccord avec son père ou son mari...) étaient abominable et inhumaine, et on a beau savoir que c'était le cas à une époque pas si lointaine (je pense à l'actrice Marie-Hélène Breillat qui a subi des séances d’électrochocs, dans les années 80, pour dépression...), ça semble toujours aussi dingue.
Ce qui me fascine, d'une certaine manière, c'est l'assurance que ce docteur Freeman (même son nom a quelque chose d'ironique, pour le coup)
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pensait agir pour le bien de tous. La séquence où il sort les cartes de vœux de ses patients lobotomisés, en refusant de voir que quelque cloche (leur écriture), est tétanisante !